Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit de plaisir).
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... descends en léchant son ventre, je lape son sexe très gros, court et large.
Je le pompe, j’aspire, je ne décolle pas, je garde sa bite tout le temps en bouche.
Je veux remplir parfaitement mon rôle de vide-couille.
Je fais très vite, je prends ses couilles à pleine main, un doigt dans son cul, entre ses grosses fesses, je sais que c’est une méthode efficace… !
• Che puttana! È così buono! Sì! Ah!
Je ferme les yeux : deux violentes éjaculations s’écrasent sur mon visage et mes cheveux. Je rouvre les yeux, deux autres jets tout aussi violents et copieux viennent de jaillir. J’en ai plein les yeux, je dégouline littéralement de sperme.
Un grognement, un râle, Fernando gicle à nouveau sur mon visage !!!
• C’est le tour d’Arnaldo, maintenant, sois plus chienne ! Comme pour nous ! Montre-nous ! Lèche lui les fesses, il aime ça.
Même scénario. Je guide sa main sur mes seins, ma chatte, je me l’enfonce, je prends l’autre, la mets dans mon cul, guidant son index pour me pénétrer.
Je passe derrière lui, lui lèche les fesses à bons coups de langue, je reviens vite sur sa queue.
J’avale en gloutonne, gourmande, ma langue parcourt, tourbillonne, je pompe, je suce, vite, vite.
• Prendi questa troia sporca !
Impossible de me résister. C’est trop fort... Il gicle sur mon visage! Gagné !! Je lui souris aussi.
• Franco, viens, pour toi je vais être la chatte qu’ils veulent, viens donne-moi ta belle queue !
Toujours à quatre pattes, parce que c’est ...
... ça qu’ils veulent voir avant tout, mon cul !!
• Franco, viens dans ma bouche comme pour me baiser, tu comprends ??? Je suis obéissante, je vais te sucer comme jamais personne ne l’a fait. Enfonce bien ta bite, donne, baise ma bouche. Je vais te boire, j’ai envie, tu m’excites, tu as une belle queue ! Tu es beau, tu me plais, tu seras le premier à me baiser tout à l’heure !
J’ouvre la bouche, je lui tends celle-ci, je le gobe, je le laisse aller, venir, je serre fort sa queue de mes lèvres.
Je l’aide, il ne se retient plus, me bouscule, brutal, encouragé par la promesse de baise, j’aime encore plus.
Tout en caressant ses grosses couilles, j’approche ma bouche du soc massif, posant délicatement mes lèvres sur la chair à vif, léchant à petits coups de langue le gland violacé à la peau si fine, lui arrachant des gémissements. Je lape l'énorme bourgeon, telle une gourmande, puis c'est la totalité de la longueur de la colonne de chair que ma langue explore. Ma bouche monte, descend, faisant glisser ma langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure. Son sexe est tout luisant de ma salive.
J’ouvre la bouche en grand et enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert de l’énorme pénis, suçant sa queue avec application. Il sent mon souffle chaud sur son nœud turgescent, il me saisit à la nuque et tire ma tête vers son sexe dardé, me contraignant à l’absorber au maximum, mais je ne peux à peine en avaler la moitié. J’essaie de ...