1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit de plaisir).


    Datte: 17/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier.
    
    Il se sert de moi, un bon moment, me tient la tête, me « baise la bouche », entre, sort, de plus en plus vite.
    
    Marc a finalement giclé sur mon visage, en longs jets visqueux. Il a promené sa queue repue sur ma bouche pulpeuse, mes joues, pour me couvrir presque tendrement de son nectar divin. Je gémissais de plaisir, du plaisir d’être leur chose.
    
    Il me colle à lui, me maintient, m’oblige à rester entre ses cuisses, le long de ses couilles, caresse mes cheveux, souillés de sperme. Il me conduit de ses couilles à ses cuisses, me guide fort, je continue à lécher. Le jus coule sur mon visage.
    
    J’étais couverte de sperme, maculée, une vraie bacchante et j’ai adoré ça. J’ai adoré être un réceptacle à sperme, sentir les foutres gluants tout tièdes sur ma peau frissonnante.
    
    Tout le monde se lave, l’eau, les serviettes sont là.
    
    Les hommes pensent que ça ne suffit pas. Je suis d’accord avec eux, je veux autre chose et ils le savent.
    
    Ils parlent de moi entre eux, je ne saisis pas mais je devine…
    
    Marc domine :
    
    • Reste allongée sur le dos, ouvre bien tes jambes, mets tes bras en arrière, sous la nuque, relève tes seins, offre toi totalement, sois disponible et laisse toi faire...Tu es belle à poil comme ça... prête pour eux ! ! Ça me plaît grave !
    
    Les trois autres sont assis autour de moi, me caressent, me fouillent encore, reviennent me donner une ...
    ... bite à sucer. Je suce, sans réfléchir, naturelle. Je m’ouvre, j’ai le clito ultrasensible, ma chatte est béante, trempée.
    
    On y rentre facilement plusieurs doigts tellement ça glisse. Je prends beaucoup de plaisir, je regarde les étoiles.
    
    DES RENFORTS
    
    Marc revient. Il est accompagné !
    
    Trois autres routiers, des Italiens, entre 55 et 60 ans. Ils ont le même physique que mes 4 amants du moment : gros, trapus, épaules larges et sans aucun doute bien pourvus par la nature.
    
    Philippe lui a demandé de les choisir, connaissant mon goût pour ce genre de types.
    
    Ils sont en short, torse nu, jambes nues, si je regarde mieux, ils n’ont pas de slip !
    
    Marc, qui parle parfaitement le Français, dit :
    
    • Olga, Voici Fernando, Arnaldo, Franco !! Ils ont une immense envie que tu les suces aussi, dépêche-toi ! Vite. J’ai dit que tu es bonne, que tu fais jouir, après on te baisera comme tu le mérites, en vraie salope. Ton mari est d’accord, sept bites dans ton cul, tu vas être heureuse. Une acharnée comme toi, on ne peut pas la laisser partir comme ça !
    
    Philippe a tout délégué à ce Marc.
    
    Les Italiens sont déjà sur moi.
    
    Tous les shorts sont tombés, les hommes sont prêts. Marc dirige :
    
    • Viens salope, viens, lève-toi ! Allez debout ! D’abord tu me suces un peu
    
    Je me penche sur sa bite, je suce … Après tout c’est agréable.
    
    • Bien, allez, va voir Fernando ! Vas lui tailler une pipe !
    
    Je prends Fernando, je mets sa main dans ma chatte, je me cramponne à lui, je ...
«1234...»