1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (50) : Olga et les routiers (2 : nuit de plaisir).


    Datte: 17/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    Lors de notre retour de vacances 2014, Philippe m’avait réservé une belle surprise.
    
    C’était une belle nuit d’été.
    
    Après m’avoir « plus que chauffé », Philippe a arrêté la voiture et m’a offerte à quatre routiers, bien décidés à profiter de cette aubaine inattendue. Et moi aussi !
    
    Ordonnateur de la soirée, Philippe a d’abord voulu que je taille une pipe à ces quatre hommes. Ceux qui suivent mes récits savent que je suis une grande spécialiste de la fellation.
    
    LA FELLATRICE
    
    Je prends entre mes lèvres leurs belles tiges, bien dures et dressées vers le ciel, savourant de toute ma bouche et à tour de rôle, la raideur de ces mâles, qui respirent la testostérone.
    
    J'ai maintenant l'impression de sucer des barres en métal, tellement ces gaillards bandent ardemment.
    
    Les quatre hommes sont enchantés, ils jouent avec moi, ma bouche devient un sexe. Ils donnent, reprennent, je cherche, j’attrape, il m’en faut toujours une. Je le fais parce que j’en ai envie, mais je sais aussi combien cela plait à Philippe.
    
    Les grognements, les propos en Espagnol et en Portugais, tout m’excite, ils me dominent complétement.
    
    Je comprends un peu l’Espagnol et le Portugais, mais il n’est pas difficile de suivre ce qu’ils disent :
    
    • Que puta!
    
    • Ela é boa!
    
    • Cadela !
    
    Miguel s’est mis à tapoter sa queue raide sur un de mes nichons, le faisant trembler comme de la gelée. Il agaçait mon téton durci avec le bout de sa queue. Il jouit enfin, accélère le mouvement de sa ...
    ... branlette et son sperme a giclé sur mes seins, dégoulinant sur mon ventre.
    
    José, puis Pedro dirigent leurs jets sur mes seins. Pedro a plusieurs jets très puissants. Il dirige le dernier vers mes cheveux. J’en ai désormais partout !
    
    Marc, le colosse, est nu, en espadrilles. Il est le dernier à résister. Il se retient. Sa grosse bite demande plus d’attention.
    
    Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans ma bouche.
    
    Sa queue m'excite. J'engouffre sa queue, en m'écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue.
    
    Puis, je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue, gonflée à l'extrême, qui s'offre à moi.
    
    La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens.
    
    Je mouille. Ma chatte est trempée. J'ai envie de branler mon clito, de fouiller ma chatte avec mes doigts mais je suis toute à cette queue.
    
    Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je lèche la queue de Marc avec application. Je me ...
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