1. Un amour impossible. Clara, l'alternative...


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, fbi, amour, volupté, pénétratio, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... et m’engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Elle hoquette et a un haut-le-cœur.
    
    — Hummm, c’est bon… Monsieur est prêt ! râle-t-elle en me suçant comme un bonbon.
    
    Elle se relève, et debout nous reprenons notre baiser. Je parviens enfin, dans les froufrous compliqués de sa robe, à lui découvrir la poitrine. Des seins magnifiques, ronds et lourds, les tétons durcis perçant presque le soutien-gorge. Elle gémit et recule tout contre la table du salon, en m’entraînant avec elle.
    
    — Viens ! souffle-t-elle, viens… prends-moi !
    
    Elle se couche sur la table, retrousse sa robe jusqu’à la taille, écarte les jambes au maximum. Vision diabolique que ces cuisses lisses et pleines, son pubis à demi rasé, son string trempé ! Bijou dans son écrin de bouillonnement d’étoffes… Elle crie, presque, d’une voix rauque et m’attire :
    
    — Baise-moi, viens !… bien à fond, tout de suite !
    
    Ses doigts écartent le fin tissu qui gardait l’entrée magique et m’aident à la pénétrer. C’est d’une douceur exquise, soyeuse, et je pousse au bout sans résistance tant elle est trempée. Un sursaut des reins et elle m’accompagne violemment dans une sarabande infernale…
    
    — Oui ! Plus fort, plus vite… ah ! j’aime ça ! gémit-elle.
    
    Puis soudain elle se cambre, m’emprisonne le dos avec ses jambes et laisse aller sa jouissance dans plusieurs contractions du vagin qui me serrent le sexe à m’en faire mal…
    
    — Ah ! c’est bon… oui ! viens toi, viens ! lâche-toi…
    
    Et je me libère à mon tour, explosant en ...
    ... plusieurs fois dans son ventre… l’inondant, alors que ses mains sur mes fesses me poussent en son plus profond. Notre étreinte, courte, rapide, intense, me laisse sans voix, la bouche sèche. Je n’ai pas eu le temps de réaliser… que c’est fini… là, maintenant avec cette fille splendide, encore habillée, que je connais à peine. La position devient vite inconfortable et elle se redresse, assise sur le bord de la table, les seins à l’air, soutien-gorge baissé, la robe retroussée, cuisses ouvertes et dégoulinantes de nos liqueurs. Elle me regarde en souriant et étale tout ce jus avec les mains.
    
    — Ah ! j’adore… je t’avais dit, comme ça j’adore… comme un viol !
    
    Je suis estomaqué de son tempérament…
    
    — Dis-moi… lui dis-je, inquiet, tu aimes, sans préparation, violemment ?
    
    Elle se remet sur ses jambes et commence à se dévêtir.
    
    — Oui ! toute habillée, c’est super excitant, tiens, aide-moi à enlever tout ça… La prépa ? pas besoin… ça fait des heures que rien qu’à te regarder, j’ai mouillé… c’est un signe pour moi, et puis j’ai la chance d’être vaginale, alors…
    
    Elle rit et ajoute :
    
    — Le clito, c’est pour les filles… ou pour mes doigts !
    
    Je proteste en lui claquant une fesse :
    
    — Ou pour la langue et la bouche des garçons !
    — Ah ! tu fais ça, toi… ? Pas courant par les hommes, ou mal fait, tu me montreras, d’accord, tout à l’heure… tu aimes les foufounes ?
    — J’adore ! Heu !… tu as dit : « tout à l’heure » ?
    — Oui, oui ! Je te garde pour la nuit… tu as de la chance, ...
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