1. La passagère.


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... chère dame, ne vous gênez surtout pas. Téléphoner lui, tiens ! Avec votre portable. Je lui dirai qu’au contraire c’est vous qui m’avait proposer la botte. Et comme j’ai refusé, pour vous vengez, vous me chargez de choses fausses.
    
    Pour toute réponse elle a ouvert la portière. Je suis sorti à mon tour, et j’ai renouvelé ma demande.
    
    - Alors ma chère madame, ce café ?
    
    - Il n’en est pas question ! Vous m’entendez… PAS QUESTION.
    
    - Pourquoi madame ?
    
    - Je n’ai pas d’explication à vous donnez jeune homme. Je tiens à ce que vous sachez que je vais garder le silence sur l’incident de cette nuit. Donc à ne pas en référer à mon époux.
    
    - Vous m’envoyez ravie.
    
    - Il n’y a pas de quoi.
    
    - À défaut de vous avoir vous, il serait possible d’avoir une chose de vous.
    
    - Vous n’allez pas recommencer.
    
    - Juste une petite chose.
    
    - Allez-y qu’en en finisse, proposez ?
    
    - Bon ! Bon ! Que diriez-vous de me donner votre culotte.
    
    - Ma culotte ! Mais vous êtes intenable.
    
    - La culotte et je vous fiche la paix. Et vous n’entendez plus parler de moi.
    
    Elle a prit un temps de réflexion, puis lança :
    
    - Laissez moi allé jusqu’à chez d’abords.
    
    - Et une fois chez vous, vous allez m’envoyé promener.
    
    - C’est mal me connaître. Quand je promets quelque chose je le donne.
    
    - Oui mais vous avez rien promis.
    
    - Je vous promet de vous donnez ma culotte. Cela vous va.
    
    Elle a terminé sa phrase avec un petit rire mi-narquois, mi-émoustillé. Puis après s’être chargé de ...
    ... son manteau et son sac à main elle prit la direction de chez elle. Sa démarche faisait ressortir le liséré de sa culotte, sous sa soie. À chaque pas, son déhanchement creusait un peu plus le sillon profond qui séparait ses fesses rondes, sous le tissu ajusté. Je la vis ouvrir sa porte d’entrée et disparaître à l‘intérieur.
    
    J’ai compté les minutes et ne voyant rien venir je me suis fais une raison. Je n’aurai rien de sa part. Je me suis installé derrière le volant. Et alors que je m’apprêtais à embrayer pour passer la première, j’ai perçus du mouvement du côté de la porte d’entrée. Je me suis empressé d’aller à sa rencontre. Trop content d’avoir réussi à avoir quelque chose. Elle agitait quelque chose au bout de ses doigts mutins.
    
    - Vous voyez comme je tiens ma promesse ?
    
    - Je vous en sois gré.
    
    - Eh je peux savoir ce que vous comptez en faire ?
    
    - Plein de chose.
    
    - Alain ! M’interpela-t-elle.
    
    - Oui ! Répondis-je en me retournant pour lui faire face.
    
    - J’ai laissé mes escarpins rouges dans la voiture.
    
    - Vous désirez que je vous les apporte ?
    
    - Non, j’en ferais part à mon mari. Il les récupéra. Bonne soirée.
    
    - Vous êtes sûre que vous ne voulez as que je rentre ?
    
    - Parfaitement sûr.
    
    Je suis retourné jusqu’à la voiture. J’ai émis un grognement en découvrant la culotte en dentelle rouge que j‘avais vu quelques heures plus tôt protéger son intimité. Ma verge s’est musclée de plaisir.
    
    J’ai encagoulé la culotte sur ma tête, en prenant bien soin ...