Noces d'étain - Histoires de Sexe

Noces d'étain

... jamais assez que je t’aime, dit Jean. Depuis notre première fois, quand je t’ai dépucelée, je n’ai jamais connu d’autre femme. Et pourtant, honnêtement, j’ai eu des occasions. Mais je t’aime trop.
— Moi non plus, je ne t’ai jamais trompé depuis que tu m’as aimé pour la première fois. Pourtant, on m’a fait quelquefois la cour, de beaux garçons, des patrons pouvant accélérer ma carrière, mais moi aussi j’ai refusé, songeant à notre bonheur.
— Mais il y a une chose que je dois t’avouer, si je t’ai donné du plaisir dès la première fois, c’est que je n’étais plus puceau malgré la promesse que nous nous étions faites. Et c’est ce qui justifie mon choix pour l’invitée surprise.

Les yeux fixés au plafond, Jean parle.

— Quand avons réussi au bac, j’étais particulièrement heureux. Plus de soucis, deux mois de vacances, puisque nous étions admis ensemble à l’école de commerce. Seul inconvénient, nous allions être séparés en juillet.

Pierre, ton cousin lui aussi était content, plus heureux même que nous, il avait réussi alors qu’il n’avait aucun espoir de succès. Aussi, pour fêter ça, il m’a invité chez lui quelques jours plus tard, tu étais partie chez tes grands parents.

Son père et sa mère y étaient allés eux aussi passer quelques jours. Pierre en avait profité pour inviter Émilie. Et c’est là que j’ai connu ta cousine Hélène. Elle était, et reste, une femme magnifique. Grande, « bcbg, beau cul belle gueule ». Tu la connais mieux que moi. J’ai été impressionné par sa ...

... beauté. Mais elle était inaccessible : la sœur de mon meilleur copain, puis trop vieille pour moi. Et surtout, je t’aimais. Mais elle était quand même magnifique en robe d’été.

Ton cousin nous a présentés. Il lui a expliqué que je t’aimais, depuis longtemps. Ensuite il est allé rejoindre Émilie.

Hélène m’a souri et nous avons parlé. Ébloui par sa beauté, j’ai répondu à ses questions automatiquement sans réfléchir. J’étais trop occupé à tenter d’apercevoir un sein qui sortait presque de sa robe. Je ne me rendais pas compte qu’elle s’amusait de moi. Et je lui ai avoué que je n’avais jamais connu de femme, me conservant pour toi.

Pierre nous a proposé de nous baigner. L’eau était un peu fraîche, j’étais content de ne pas avoir de maillot. Mais j’espérais voir Hélène en bikini.

— Je vais me baigner, ou au moins prendre le soleil, me dit-elle. Tu viens Jean.
— Non, je n’ai pas de maillot, et puis l’eau me semble un peu fraîche.
— Mais les maillots, ce n’est pas ce qui manque, allez viens avec moi, nous allons en emprunter un à Pierre.

Je ne pouvais pas refuser.

Pierre m’a prêté un caleçon de bain, puis est allé se changer dans sa chambre avec son amie. Hélène m’a dit de venir dans la sienne. J’étais intimidé, un peu effrayé, me demandant comment j’allais faire, mais difficile de refuser.

Je ne savais comment me déshabiller en présence d’Hélène. Mais elle, tranquillement s’est mise nue. Puis, elle a arrangé ses cheveux. Ses bras levés faisaient se dresser ses ...