Noces d'étain - Histoires de Sexe

Noces d'étain

... seins. J’étais hypnotisé. Elle m’a dit d’un air innocent :

— Ce n’est quand même pas la première fois que tu vois une femme nue ?

Si, c’était la première fois ! Mais naturellement j’ai dit le contraire. Pourtant, elle avait compris mon innocence en la matière.

— Mais, change toi, on ne va pas attendre toute la soirée.

J’ai quitté short et slip, face au mur.

— Jean, tourne-toi !

Naturellement, je bandais comme un cerf. J’ai obéi, mettant ma main pour dissimuler mon organe. Elle a souri et m’a dit :

— Il semble que je te fasse de l’effet.

S’avançant vers moi, elle a écarté ma main et a saisi mon sexe.

— Mais il est magnifique, tu es vraiment un homme ! Pourtant tu ne peux pas descendre comme ça ! On va arranger ça.

Elle m’a poussé sur le lit, et me saisissant, elle m’a branlé. Je n’ai pas pu résister longtemps et j’ai explosé, lui arrosant la main et une partie de la cuisse.

— Voila, le problème est réglé.

Je croyais rêver. Me tenant toujours par la queue, elle m’a amené dans la salle de bain. Heureusement personne ne nous a vus. Avant de me laver, elle a goûté de mon sperme sur sa main.

— Il est bon, tu vas avoir du succès auprès des filles.

Nous sommes retournés dans la chambre et avons mis nos maillots.

En descendant nous avons trouvé son frère et sa copine. Cette dernière allongée sur le ventre, prenait un bain de soleil. Son haut était détaché afin de ne pas laisser de traces dans le dos. Hélène en la voyant dit :

— Elle a ...

... raison Émilie, autant lever le haut.

Et elle a libéré ses seins. Émilie semblait un peu gênée et hésitait à se retourner. Pierre l’a persuadée de le faire.

Je suis allé me baigner, car malgré le soulagement qu’Hélène m’avait procuré, je sentais remonter mon désir. Heureusement l’eau fraîche m’a sauvé. J’ai nagé longuement afin de me calmer. Puis je me suis séché au soleil en évitant de regarder les filles.

Je comptais aller me changer seul, mais Hélène ne m’en a pas laissé la possibilité Elle m’a suivi et comme la fois précédente, s’est mise nue. Alors j’ai fait de même. Mais à nouveau mon sexe s’est dressé.

— Ne compte pas sur moi pour te branler chaque fois que tu bandes, moi, je reste sur ma faim. Descendons, mais viens m’embrasser avant de rentrer chez toi.

Arrivé devant elle, elle m’a pris la tête et m’a roulé un fameux patin. Heureusement, avec toi, j’avais pratiqué ce genre de caresse, je n’étais pas tout à fait novice. Mais là, j’étais tombé sur une professionnelle. J’ai plus appris en quelques minutes que tout ce que j’avais connu auparavant.

— Alors, à demain. Si tu veux, tu pourrais coucher ici, ça t’éviterait le trajet.

Je suis parti, j’étais sur un nuage. À cette époque là, je roulais encore en mobylette. Et sur le chemin du retour, moi, qui était un acrobate sur ce genre d’engin, j’ai failli avoir un accident bête, tant j’étais plongé dans mes pensées.

J’ai demandé à mes parents la permission de rester le lendemain coucher chez mon copain : ...