1. Noces d'étain


    Datte: 15/02/2019, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, fsodo, couple, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... eux, au contraire, et les enfants sont fous de joie de se retrouver entre cousins.
    
    Pauline et Jean, heureux d’être enfin seuls, font signe de la main aux voitures qui s’éloignent. Voila, les derniers invités partis, maintenant au travail. On débarrasse les tables, le nettoyage sera pour demain.
    
    Pendant un long moment, ils s’affairent dans la maison, dégageant le plus encombrant. Puis ils se douchent et s’écroulent dans les fauteuils.
    
    — Merveilleuse journée, on s’en souviendra, déclare Pauline.
    — Oui d’autant que tous étaient là. Mais tout de même nous avons eu un couvert de reste. Nous n’avons eu qu’un invité surprise.
    — Je ne connais pas les raisons de ton choix, mais nous avons pensé à la même personne sans nous consulter, remarque l’épouse.
    — C’est la preuve qu’elle nous est chère à tous les deux, bien qu’elle soit au loin et que nous ne la voyions pas souvent, elle nous a laissé un bon souvenir.
    — Hélène est formidable. Mais nous avons sûrement, chacun de nous, une raison particulière.
    
    Ils ont pioché dans les restes du repas dans le frigo, grignoté sur un coin de table. Un bon café et au lit.
    
    En ce mois de juin, la nuit tombe très tard. Les époux se déshabillent de chaque côté du lit. Les yeux de Jean sont fixés sur sa vis-à-vis. Pauline qui a compris ses intentions, le regarde en souriant. Oubliant la chemise de nuit habituelle, elle s’allonge nue entre les draps
    
    Délaissant le pyjama, Jean vient à côté, contre elle. Inutile d’exprimer verbalement ...
    ... ses sentiments, son sexe parle pour lui. Le saisissant à pleine main, elle lui dit :
    
    — Viens mon amour, c’est notre soir de noces.
    
    Ils s’aiment depuis qu’ils se sont rencontrés en seconde. Ils connaissent leurs corps, leurs désirs depuis plus de treize ans. Et malgré tout de temps, ils se désirent toujours autant. Très souvent ils se prouvent leur amour, de différentes manières, mais toujours pour leur plus grand plaisir.
    
    Après un baiser langoureux, il descend vers les seins, comme deux flans sur la poitrine mince. Longuement il tète comme un nouveau né. Quand il sent les bourgeons se raffermir, il se dégage, pivote et vient honorer le buisson. Sa femme a devant elle un organe au maximum de sa forme. Elle l’embrasse, le lèche puis l’enfourne au plus profond de sa gorge. Un plaisir inouï la submerge en sentant son bouton taquiné, aspiré. Chacun s’applique à amener l’autre au bord du plaisir. Lorsque l’un d’eux est prêt à craquer, il arrête l’autre.
    
    Jean vient alors au côté de sa partenaire. Il la pénètre doucement, et c’est l’union. La cadence est irrégulière, rapide au début, plus chaotique ensuite. Quand l’un se sent proche du plaisir, il freine l’autre afin de ne pas jouir en égoïste. Puis, à un moment, sans qu’une parole soit prononcée, ils se déchaînent simultanément et connaissent le plaisir.
    
    Ils sont retombés cote à cote. La tête de Pauline repose sur l’épaule de son mari. Fatigués, mais heureux, ils savourent leur bonheur.
    
    — Tu sais, je ne te dirai ...
«1234...9»