1. Conte de Noël


    Datte: 14/02/2019, Catégories: fh, fdomine, pénétratio, jeu, init, conte, amourpass, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... engrosser. Mais jusqu’à hier soir, simplement de penser qu’un homme me touche, me pénètre, me donnait la gerbe.
    — J’ai pas eu cette impression pourtant !
    — Arf, arf ! Très drôle. Mais t’as raison, non seulement tu m’as baisée mais en plus, tu m’as donné du plaisir !
    — J’t’jure que je n’ai pas fait exprès !
    — Fais le malin, j’trouve que pour un pédé, tu t’es pas mal enflammé. Plus sérieusement, si je me retrouve enceinte de tes œuvres, je ne te demanderai rien. Tu m’as donné ton sperme. Tout ce qu’il me fallait !
    — C’est pour ça que… tu avais tout manigancé ! tu m’as bien piégé !
    — Personne n’a piégé personne ! J’avais juste envie de passer un moment avec toi.
    — Même pas une petite idée derrière la tête.
    — Même pas… En tout cas, sur ce que j’ai cru percevoir de toi avant que l’alcool et le stupre nous perturbent, tu pouvais être un géniteur acceptable… Malheureusement, je ne crois pas être en période d’ovulation. Pour l’instant, range ton matériel, j’ai faim.
    
    J’allais avoir du mal. Durant notre petite conversation, mes mains s’étaient égarées sous mon tee-shirt et s’en étaient prises à ses seins. À la fin de sa tirade, je faisais rouler ses tétons sous mes doigts. Si mon bâton était si dur et redressé, elle en portait la responsabilité. Plutôt que de garder ses mains tranquilles, une s’occupait de ma queue et l’autre partait à la découverte de mes boules.
    
    Grande première. Autant que ma mémoire embrumée puisse s’en souvenir, elle n’avait pas eu le temps de les ...
    ... atteindre cette nuit. Ses caresses traitresses m’avaient mis dans un état d’excitation avancée… Mais mon homme avait faim.
    
    La faim vient en mangeant.
    
    Toujours faire confiance à son mec. Deux bols de café, trois croissants et un pain au chocolat plus tard, je me sentais un autre homme ; enfin, c’est une manière de parler. Mon excitation était tombée, pas mon désir. J’avais du mal à m’y faire. Ce petit bout de bonne femme m’avait ensorcelé. Une sorcière ou un lutin du Père Noël, seule explication valable. Un lutin à l’air mutin. J’avais envie de me blottir dans ses bras. Putain, je déraillais grave.
    
    Si j’en jugeais par son attitude, ses sourires, elle naviguait dans les mêmes eaux. Pendant ce copieux petit déjeuner, nous revînmes sur notre précédente discussion. Chacun tenant à ce qu’aucun malentendu ne subsiste. Accompagnement assuré par une multitude de signes éphémères de tendresse. L’atmosphère était câline. L’estomac rassasié, nous avions toujours faim ; une autre faim.
    
    Soudainement, son visage joyeux devint plus grave. Elle étreignit mes mains entre les siennes.
    
    — Je voudrais que tu m’aimes comme une femme… comme une vraie femme.
    
    La réponse gicla inutilement ironique :
    
    — J’sais ben que je ne suis pas très expérimenté mais il me semble que tu as tout ce qu’il faut pour être une nana.
    — Tu sais bien que ce n’est pas ce que je veux dire.
    — J’sais, repris-je sur un autre ton en effleurant sa joue du bout des doigts. Mais, tu vois comme mec, t’aurais pu ...
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