1. Rêves de jeunes époux


    Datte: 14/02/2019, Catégories: f, h, fh, ff, bizarre, vacances, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, revede, vidéox, odeurs, pied, Masturbation Oral fdanus, fsodo, hdanus, hgode, coprolalie, uro, attache, poésie, délire, Humour fantastiqu, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... hypnotisée par ses yeux d’une beauté à tomber par terre, contre lesquels toute résistance est impossible.(2) Elle me caresse, et je sens que ses gestes sont si doux et si agréables que je ne peux l’empêcher de poursuivre, en dépit de ma très grande honte à pratiquer ainsi l’adultère presque sous le nez de mon adoré. Je m’allonge sur le lit ; elle ôte son tablier et se déshabille complètement. Non, son corps n’a rien de spécialement attirant, et pourtant elle est comme un aimant qui m’oblige à la toucher. Comme un robot obéissant à un ordre mystérieux, j’écarte les jambes et elle vient me lécher, très doucement, juste au bon endroit. Je me mords les lèvres pour ne pas crier sous les pulsations d’aise qui m’agitent de plus en plus fortement.
    
    Elle me séduit par un étrange pouvoir mental contre lequel ma volonté ne peut rien. Rien ne l’effarouche : elle vient m’embrasser sur la bouche, comme si nous étions amoureuses alors que nous sommes étrangères l’une à l’autre. Mon mari, à présent sorti de la salle de bains, nous regarde placidement, comme si tout était normal. La femme de ménage, qui ne manque pas de culot, l’ignore tout bonnement. Des desseins noirs et malsains se cachent sous des seins blancs qui m’attirent, et que je ne peux m’empêcher de malaxer et d’en lécher les aréoles, rondes comme l’auréole de femme fidèle que je viens de perdre, mais situées un peu plus bas. Encore plus bas se trouve une toison pubienne que dans sa fougue lesbienne elle me supplie de sucer. Mon ...
    ... amour que je croyais robuste a saphiquement chuté sur le buste attrayant de la première venue lorsqu’elle s’est mise à nu.
    
    Rongée d’un repentir qui torture mon esprit de cette forfaiture m’être ainsi laissée faire, je lui demande son nom. Elle répond Lilith, hélas. Mon sang se glace et mon stress monte en flèche ! C’est une monstresse vengeresse, un démon femelle, diablotine à mamelles, maîtresse satyresse, succube qui m’entube et pour lequel je succombe, venue de l’enfer afin de me faire chuter, moi, pauvresse pécheresse, par la tentation, l’excitation à la délectation fautive, à laquelle je n’ai pas su résister. Honnie, je m’agonis d’invectives punitives : j’ai trahi celui que j’aime.
    
    Pour ma profanation, il me faut une damnation, ou au moins un purgatoire, un traitement expiatoire. Intérieurement je demande un assortiment de châtiments. Quand la lame du blâme mord jusqu’au fond de l’âme, il me faut une mort qui vaille mes remords. Instantanément, récompensée par cette seule pensée, une grande croix m’est allouée. Me voici enclouée par les mains et les pieds, je m’en vais expier, fixée dans cet enfer par du fer froid et dur, perforée d’une forêt de pointes adjointes à mes membres immobilisés. Un sédile, pervers et agile engin, se faufile dans mon vagin, et lorsque je remue de cette étrange danse des crucifiés, bougeant en cadence avec persévérance, la jouissance se fait supérieure à la douleur. Dans cette agitation, c’est même si bon que dans l’exaltation je gémis de ...