1. Lieutenant Delgado (1)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: peaceme91, Source: Xstory

    ... longtemps cachée à la vue des hommes.
    
    — C’est que notre vide couille du jour est toute lisse, s’exclama un des hommes. Un vrai petit bébé tombé du nid douillet de sa maman pour se faire tringler.
    
    Un instant plus tard, un index jouait sans ménagement dans le vagin de la policière, avec aisance tant la policière était excitée par la situation. Pendant ce temps, l’un des hommes vint rouler des pelles monumentales à la jeune femme pour faire cesser des gémissements, violant sa bouche de sa langue. Le troisième lui, s’amusait à fesser Sarah, dont les fesses commençaient à rougir. Soudain elle cria de douleur, l’homme introduisait plusieurs doits dans sa chatte, sans ménagement, l’écartant comme un barbare et ayant oublié tout sens de la douceur, sans oublier ses ongles mal coupés venant râper l’intérieur de la policière. Au moment où elle voulut protester, un deuxième cri la stoppa, quand le troisième homme commença à la fister sans la prévenir. Quelques larmes coulèrent et attaquèrent son mascara.
    
    — Sérieusement, elle commence à souler à couiner pour rien celle-là !
    
    — Mettons une grosse bite dans sa bouche, cela la fera taire !
    
    À ses mots, les hommes jetèrent Sarah à genoux sur le matelas, et lui présentèrent les trois sexes en érection. Là, à leur merci, elle se jeta avec appétits sur les sexes gonflés de désirs, n’en ayant pas goûté depuis trop longtemps. Dieu que l’odeur lui avait manqué, malgré la douleur et les gorges profondes, elle se sentait revivre. ...
    ... Pourtant, de l’extérieur elle devait être ridicule, couverte de baves, le visage ruiné par son maquillage dégoulinant, et des bittes tapant dans sa glotte, lui arrachant au passage des petits bruits indignes d’une femme bien élevée.
    
    Enfin, il fut temps de passer à la casserole. Sarah avait compris depuis un moment que Brahim lui avait menti. Elle n’était pas la déesse de ses hommes, mais leur objet, leur vide-couilles. Ils avaient prévu de lui faire faire tous ce que leurs femmes et leurs copines ne souffriraient jamais qu’on leur fasse. Ils étaient des animaux, et hélas pour elle, Sarah était leur cochonne du jour. Malgré tout, elle y trouvait un certain plaisir, pour la première fois elle s’abandonnait, elle n’avait plus de responsabilités, elle n’était rien, juste un trou bougeant au rythme des bites. Elle prenait donc aussi son plaisir en s’évadant dans les traces de sueurs et de spermes qui la recouvraient petit à petit.
    
    La soirée dura des heures, des hommes rentraient, d’autres partaient une fois versé leur foutre sur ou dans Sarah. Quant à elle, elle ne sentait plus rien, sa chatte n’avait plus de sensation, sa bouche était engourdie par le sperme, et son petit cul aurait pu faire rentrer une bouteille tant elle se faisait prendre sans ménagement par tous les trous ce soir. Le bruit des couilles claquant contre son corps était devenu un son régulier et normal à ses oreilles.
    
    Puis petit à petit la pièce se vida, laissant pour la première fois Sarah sans bites. ...
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