Evolutions (22) - Histoires de Sexe

Evolutions (22)

... bruit de sa respiration qui devient de plus en plus profonde et bruyante qu’elle apprécie ce que je suis en train de lui faire. Cela m’est confirmé par le fait que son anneau de chair se dilate, au point qu’il n’est à présent plus du tout plissé, et que le petit trou sombre qui est apparu en son milieu s’agrandit peu à peu.

Lorsque j’arrive à faire entrer et sortir ma langue dans cette bague, mon amante se met à haleter doucement, et je me dis alors que jamais elle ne pourra être plus prête qu’à cet instant. C’est pourquoi après avoir lâché ses fesses, je me redresse, et tout en l’attrapant par la taille, je décalotte mon sexe qui n’a pas manqué de se mettre en érection, en l’insérant entre ses miches. Je pose ensuite mon gland contre son anus, qui s’il s’est légèrement refermé, reste tout de même ouvert, et je pousse lentement.

Malgré ma salive, je suis obligé de forcer un peu, ce qui provoque à ma partenaire un petit geignement qui n’est probablement pas dû au plaisir, et une fois que le bout de ma queue est entré, je lui demande :

— Je continue, ma grosse cochonne ?

Elle me répond d’une voix que je trouve légèrement crispée :

— Oui mon Amour.

₪₪₪

Je mets alors à Alice cette fois une bonne claque sur la fesse gauche, ce qui me permet de m’enfoncer de quelques centimètres supplémentaires, puis une seconde sur la fesse droite, et je gagne encore un peu en profondeur. Lorsque chacune d’elle est arrivée à destination en faisant un bruit mat, ma partenaire ...

... a poussé un nouveau geignement, mais cette fois encore, elle ne s’est pas plainte d’une autre manière. Cependant, comme je sais qu’elle souffre, je préfère m’assurer à nouveau de son envie avant de continuer :

— C’est vraiment ça que tu veux ? Que je te fasse couiner de douleur jusqu’à ce que tu finisses par en jouir ?

— Oui ! Baise-moi comme une grosse salope ! Je veux sentir ton foutre gicler dans mon cul !!

Apparemment, mon petit bout de femme est motivée, au point qu’elle n’a pas l’air de se soucier d’être entendue de dehors, par conséquent, je me recule lentement jusqu’à ce que mon gland vienne à nouveau en contact avec sa rondelle, mais en restant bagué, puis je replonge tout aussi doucement en avant. Il me faut renouveler plusieurs fois l’opération pour arriver à m’introduire en elle en entier, et les petits cris de mon amante se transforment peu à peu en râles.

Je peux alors commencer à faire aller et venir mon membre sans m’arrêter, en faisant au départ preuve de prudence, puis en accélérant la cadence au fur et à mesure que je sens qu’il coulisse plus facilement. Je ne sais pas exactement à quel moment chez elle le plaisir remplace la souffrance, mais peut-être coïncide-t-il avec celui où elle se met à m’accompagner dans mes mouvements.

Ma partenaire s’est en effet mise à bouger elle aussi, en venant à ma rencontre quand je m’enfonce en elle, puis en allant reprendre sa position initiale lorsque je m’éloigne. Je vois avec plaisir sa grosse poitrine se ...