Evolutions (22) - Histoires de Sexe

Evolutions (22)

... de la voiture, après qu’elle ait posé ses vêtements sur le toit de cette dernière. Ensuite, elle place ses mains à plat sur le capot, tout en se penchant en avant et en écartant les jambes, après s’être assurée que la tôle n’est pas trop chaude. Dans cette position, elle expose sa vulve, mais également une partie de son anus qui est devenu visible entre ses fesses, et dont le centre me fait de l’œil.

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Comprenant qu’elle est décidée à le faire ici et maintenant, je commence par abaisser la porte du garage, et je l’arrête alors qu’il lui reste une cinquantaine de centimètres à parcourir, pour être complètement fermée. De cette manière, nous aurons assez de lumière naturelle pour y voir clairement, personne ne pourra nous remarquer de la rue, et à condition que nous ne faisions pas trop de bruit, nous pourrons pratiquer la chose en toute discrétion.

Ensuite, j’entreprends de me mettre nu moi aussi, et Alice qui s’impatiente me lance :

— Si tu ne te magnes pas, je vais aller demander de l’aide à un de tes voisins !

Cette idée me fait sourire, étant donné que sur la gauche de la villa, il y a un couple de retraités qui ont dans les 80 ans chacun, et sur la gauche une paire d’homosexuels, qui s’ils sont effectivement des hommes, risquent de ne pas être trop intéressés par les besoins d’Alice, même si elle est une femme superbe. Quant à la maison d’en face, elle est occupée par une mère de famille divorcée, et le plus vieux de ses enfants doit avoir une dizaine ...

... d’années.

Cependant, je ne réponds pas à cette nouvelle provocation de la part de mon amante, et pour bien lui montrer que j’entends rester maître de la situation, je lui mets une légère claque sur les fesses. Elle pousse alors un petit cri, certainement plus causé par la surprise que par la douleur, et tandis qu’elle me lance un regard outré alors que je pose mes vêtements à côté des siens, je lui fais goguenard :

— Bé quoi ? Tu n’as pas peur d’avoir mal en te faisant sodomiser à sec, et une simple tape sur le cul te dérange ? Pourtant, habituellement les grosses cochonnes adorent ça.

Puis j’ajoute sur un ton moqueur :

— À moins que tu n’en sois pas vraiment une, et que tu sois juste une petite bourgeoise qui se donne des airs...

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Alice ne réplique pas, sans doute parce qu’elle est en train de réfléchir à ce que je viens de lui dire, et tandis que je me suis placé derrière elle, je donne une deuxième claque sur son beau postérieur, qui est un peu plus appuyée que la première. Cela provoque une nouvelle exclamation de sa part, mais aucune autre forme de protestation. Je me mets ensuite à genoux, et j’écarte ses fesses pour dévoiler dans son intégralité son petit œillet fripé. Sans hésiter, je pose le bout de ma langue dessus, et je commence à lécher sa rondelle dans le but de la détendre, et de la lubrifier avec ma salive en même temps.

Cette fois, mon petit bout de femme ne se plaint pas, elle ne me demande pas non plus d’aller plus vite, et j’entends au ...