1. Evolutions (22)


    Datte: 13/02/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    ... obsédés qui ne pensent qu’à se mélanger. Et on peut faire ça tout simplement sur des plages dans le but de se faire bronzer, ou bien dans des campings, mais encore dans des villages qui sont dédiés à ce mode de vie.
    
    Mon petit bout de femme esquisse un petit sourire, avant de me demander :
    
    — Tu l’as déjà fait ? Je veux dire vivre à poil dans un village ?
    
    — Oui, avec une de mes ex. Des amis que j’ai en commun avec Marc et Charlène nous avaient prêté leur villa à Port Leucate, pas très loin d’ici. Dans l’Aude pour être précis.
    
    Notre discussion s’arrête là, et j’en déduis qu’Alice n’a pas envie d’approfondir le sujet. De toute manière, étant donné que nous avons parlé pendant que je conduisais, nous arrivons à la maison.
    
    Comme d’habitude, je rentre la Challenger dans sa niche, après que le portail et la porte du garage se soient ouverts mécaniquement, grâce au double boîtier que je laisse en permanence dans la voiture. L’accès à la propriété se referme de lui-même, à partir du moment où il n’y a pas d’obstacle sur le chemin des deux battants qui pivotent sur leurs axes. Mais pour ce qui est du hayon de l’abri, il faut appuyer une deuxième fois sur le bouton qui l’actionne pour le refermer, ce qui est plus pratique étant donné que c’est le seul accès.
    
    ₪₪₪
    
    Par conséquent, j’attends toujours pour le faire d’être sorti, mais alors que nous sommes encore à l’intérieur et après que nous soyons descendus de la Challenger, Alice s’exclame :
    
    — J’ai très envie, et ...
    ... depuis déjà un bon moment !!
    
    Pensant que sa vessie est pleine, je lui réponds :
    
    — Tu aurais dû me le dire avant, et tu serais allée pisser chez Henry ou chez Marc.
    
    Mais elle me détrompe en rougissant :
    
    — Tu n’as pas compris, mon Amour ! Ce dont j’ai très envie, c’est de me faire enculer !
    
    Avisant le portail qui donne sur la rue, je lui demande légèrement perplexe :
    
    — Là ? Maintenant ?
    
    — Oui. Là et maintenant. Il te suffit juste de baisser cette foutue porte, pour que personne ne puisse nous mater de dehors.
    
    Sa voix douce et grave est devenue rauque, preuve qu’elle est excitée, cependant sa requête me paraît quelque peu surprenante, d’autant plus que le lubrifiant doit toujours se trouver dans son sac à main, qui est resté dans la villa. C’est pourquoi je lui dis légèrement ironique :
    
    — Si tu arrives à te retenir jusqu’à ce qu’on soit à la maison, je pourrai te badigeonner l’anus de vaseline.
    
    Tout en se déshabillant rapidement, elle réplique :
    
    — Et moi, je croyais que mon trou du cul allait se souvenir des premières fois, et qu’il ne ferait pas de difficultés pour s’ouvrir. C’est en tout cas ce que tu m’as affirmé.
    
    — Mais tu risques quand même d’avoir un peu mal.
    
    — Si c’est moi qui souffre, ce n’est quand même pas tes yeux qui vont piquer ? À moins que tu sois une chochotte !?
    
    Cette dernière réplique qui n’est en fait qu’une provocation destinée à me convaincre, a été lancée tandis que mon petit bout de femme s’est mise face à l’avant ...
«1234...»