Mes femmes 2
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... ton cul à notre hôte. Allez, plus vite que ça. C’est bien mon petit caniche, c’est très bien. T’auras même un susucre en rentrant, me lécher mon cul. Regardez comme il frétille du cul. Mais c’est qu’il est content, le toutou. Voyez son cul, je lui administre dix coups de canne sur son cul de fils de pute.
- Waow, je ne vais pas aussi loin avec mes femmes.
- J’espère bien, elles me semblent si docile déjà. Ce serait dommage de les punir aussi sévèrement que moi. Mais que voulez-vous, parfois, je dois me montrer intransigeante.
- Je vois ça, encore un verre ?
- Bien volontiers. Oh, vu que votre invitation m’a fait un plaisir immense, mon mari fait demander de passer à son bureau lundi, disons un peu avant midi. Il doit vous demander quelque chose. Ou plutôt non, vous proposer quelque chose.
- Oh, ben aucun souci. Blanc ou rouge ?
- Allez, un peu de folie, du rouge, s’il vous plait.
- Et vos enfants, ils sont comme lui ?
- Ma fille se tâte encore. Quant à ce crétin qui nous sert de fils, le sexe n’est pas vraiment sa tasse de thé. Vous savez ce qu’il a eu le toupet de nous dire un soir ? Qu’il préférait se branler en matant un porno sur son ordi plutôt que baiser une femme.
- Le con.
- Je ne vous le fais pas dire. Je crois que ma fille s’intéresse beaucoup à votre grande.
- Béatrice ? J’espère qu’elle ne lui cache rien de nos pratiques alors !
Enfin, autour de la table, mes filles font le service. Ambroisine, fallait oser ce prénom, n’a ...
... d’yeux que pour mes trois déesses et j’aime assez ça. Le repas se déroule sans histoire. Mon patron se tait, n’osant pas l’ouvrir. Son fils n’en a rien à battre, il bouffe même comme un porc. Ambroisine, elle, ne cesse de me jeter des regards bizarres, comme si mes filles lui avaient tout avoué sur nous. Bref, au moment des cafés, Ambroisine vient se presser contre moi, sur la terrasse.
- Monsieur, est-il vrai que votre épouse et vos filles sont vos soumises ?
- Oui pourquoi cette question ?
- Oh comme ça, par pure curiosité.
- Par curiosité…ok, mais dites-moi, jeune fille, votre père, c’est le soumis, l’esclave de votre mère, n’est-ce pas ?
- Oui, j’avoue que ça m’excite quand maman punit papa.
- Vous vous voyez du côté du manche ou de l’autre ?
- De l’autre pour être franche.
- Passez le prochain weekend chez nous, vous comprendrez mes femmes alors.
- Je ne sais pas si je peux, j’ai mes études, vous savez.
- Oh, on a peur, quel dommage…
Ma voix se fait moqueuse, tellement moqueuse qu’Ambroisine finit par accepter timidement.
Après leur départ, c’est la folie des corps qui s’empare de nous et dans le salon. Me voilà rapidement à poil et couvert d’amour par mes femmes. Le hic, c’est que Christelle est revenue sur ses pas avec le fallacieux prétexte de son sac oublié. Quand elle nous trouve en pleine petite partouze, je peux la voir sourire et filer peu après.
Lundi, vers onze heures trente. Je frappe à la porte de mon patron. C’est la voix de ...