Mes femmes 2
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... orgasme violent.
Le soir, dans la maison, Je retrouve une vieille chaine qui me servait à soulever du lourd. Sortie du treuil, je cherche encore deux cadenas et leur clef. En haut, à la colonne qui délimite la cuisine du salon, j’attache une extrémité et att**** Cindy qui passe au même moment. À sa cheville, je cadenasse l’autre extrémité. Nue, elle me fixe en massant ses merveilleux seins.
- Dès la semaine prochaine, c’est toutes les trois qui serez ainsi attachées à la maison
- Mon papounet, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Tu comprends enfin ce dont nous avions envie. Me répond ma Cindy que je couche et baise.
Un mois passe. Ce samedi, nous attendons des visites. Pas n’importe quelle visite, mon patron, sa femme, leur fille et leur fils. Pour l’occasion, je choisis les tenues, toutes identiques à un détail près, les couleurs différentes pour chaque ensemble. Culotte or not culotte… not culotte. Soutien à balconnet, et voilà mes trois déesses dressant la table sous mon joug. Jusqu’à la dernière minute, elles sont enchainées à la maison. Dans l’entrée, j’ai préparé trois paires de chaussures à talons aiguilles. Quand mon boss sonne au portail, mes déesses se libèrent de leur chaine et se chausse. Inspection rapide des tenues, j’appuie sur le bouton, l’auto de mon patron avance devant la maison.
Mon boss, c’est un homme dur. Enfin, c’est ce qu’il montre au travail. Seulement, pour l’avoir mainte fois croisé en ville avec sa femme, ce n’est plus l’homme ...
... rude, mais le toutou à sa mémère, le caniche à bobonne. Je compte bien sur ce détail pour le rendre aussi docile qu’un agneau avec moi. Pour ses gosses, je ne les connais pas. Soumis, pas soumis, je m’en moque. Quoique, quand je vois monter la fille, l’âge de Béatrice, la soumettre me serait bien agréable. Non, je secoue la tête et ouvre la porte d’entrée. Accueil chaleureux, à la hauteur de ma maisonnée. Devant mes déesses, l’épouse me fixe d’une drôle de manière. Son sourire quelque peu pervers me fait plaisir. Très vite, entre l’épouse et moi, le courant passe plutôt bien. Pour ses gosses, son fils, tout boutonneux qu’il est, ne semble pas voir mes filles que comme des filles et c’est barre. Il doit être homo ou alors, complètement à côté de la plaque. La fille, par contre, semble attirée par Béatrice et Cindy. Pour mon patron, mes trois donzelles le font bander comme un âne.
Autour de l’apéro, l’épouse ne me quitte plus d’une semelle. À son oreille, je me permets de lui dire de parler sans honte, sans faire de chichi, on est entre ami après tout. Elle me demande de l’appeler par son prénom, Christelle. Je lui demande d’en faire autant quand son époux nous rejoint sur la terrasse. Là, il se met en retrait de sa femme, parfaitement soumis.
- Ainsi, ma chère Christelle, mon patron est votre soumis.
- Comment l’avez-vous su ?
- En vous croisant en ville et puis là, c’est flagrant.
- C’est vrai que depuis notre mariage, c’est mon esclave. Du reste, Albert, montre ...