1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (1)


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... derrière et les cuisses de ma femme car moi-même ce tableau m’a excité et réveillé un peu ma bite. Mais, j’ai encore laissé faire.
    
    Enfin, nous l’avons quitté mais il nous a invités à revenir le voir. Et encore une chose inédite, c’est ma femme qui lui a répondu par l’affirmative. Puis, il nous a tendu la main que j’ai serrée. Mais il l’a aussi tendue à ma femme, qui sans hésiter en a fait de même, chose toute nouvelle pour elle avec un homme. J’étais encore plus fâché de ce contact physique de ma femme avec ce jeune marchant poilu.
    
    A la maison, je lui ai demandé son avis et sur l’invitation du marchand. Elle m’a répondu que c’était un nomade, que sa caravane sentait mauvais, qu’il était impoli car il la regardait tout le temps et qu’il faut oublier son invitation. J’étais étonné car j’avais remarqué que c’était elle qui mangeait des yeux cet homme et que sur l’evier, elle lui avait montré ses jambes et ses cuisses exprès et elle avait accepté l’invitation. Elle m’a dit que c’était par politesse, que je me faisais des idées et la question est close.
    
    On a passé une semaine sans problèmes. La matinée, les femmes faisaient le ménage et allaient acheter le nécessaire à la grande surface pendant que j’allais acheter le journal et bavardais avec l’oncle. L’après midi j’allais au café du coin et ne retournait à la maison qu’à l’heure des infos de huit heures. Et nous passons ensemble la soirée.
    
    Le samedi suivant, je quittais le café plus tôt, à seize heures car le match ...
    ... de rugby ne m’intéressait pas. A la maison, mon oncle et sa femme sommeillaient dans leur chambre et ma femme était absente. Sans réveiller les vieux, et ayant un soupçon, je suis parti vers le marché.
    
    Il était fermé et désert et m’approchant de la caravane du marchant Algérie, j’ai pu entendre des voies. L’une d’elle était celle de ma femme. Elle était chez le marchand et j’étais sur qu’ils étaient entrain de baiser et que, depuis quatre jours, chaque après midi, ma femme me faisait cocu avec le premier inconnu.
    
    J’ai entendu ma femme « Ah ! ya habibi ! ch’7aal zebeb m’tine wa 7’lou ! » (ô mon ami ! comme ton zob est dur et doux !). Et l’homme « kheir mine n’ta3 radjlek ! » (mieux que celui de ton mari !). Et ma femme de confirmer « wach ijib zeb e’sba3 wa zeb el’far ! ya habibi » (Quelle différence entre le zob du lion et le zob du rat ! ô mon ami). La salope ! Elle ajouta « zid chaba3ni b’zebeb lekhchine ! zid ! » (rassasie moi encore de ton zob épais ! encore !).
    
    Puis un peu de remue ménage et j’entendis ma femme lancer un « ah ! » prolongé et plaintif. L’homme a du certainement enfoncé son zob dans sa chatte et elle lance ainsi ses cris de jouissance. Et la caravane commença à bouger et à tanguer des coups de reins de l’homme dans le chatte de ma femme. Grace à un coin du rideau de la petite fenêtre coté arrière de la caravane, j’ai pu les voir faire l’amour avec passion et violence.
    
    Je voyais les fesses poilus de l’homme qui bougeaient et les vas et viens de ...
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