1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (1)


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... de la tenue algérienne, voile et foulard au visage et la tête et longue robe traditionnelle.
    
    Alors, elle lui a choisi une belle robe claire, montrant les belles jambes de ma femme et même parfois un peu de ses cuisses juste au dessus des genoux. Par le haut, ça découvrait un peu le sillon de ses gros seins et sur la tête un léger chignon. Ce déguisement ne la distinguait plus de nos voisines émigrées et même françaises. Elle était très belle ainsi, presque une inconnue pour moi, et malgré ma gêne j’ai laissé faire. Npus étions à l’étranger et cette tenue était normale.
    
    Nous sommes allés aux grands magasins et au marché du coin et effectivement, personne ne faisait attention à nous car nous étions presque comme tout le monde. Le troisième jour, ma femme, voulant nous préparer un plat bien de chez nous, proposa d’aller, seule, au marché pour bien choisir ses légumes. Ce n’était pas très loin et j’ai laissé faire.
    
    Une heure plus tard, de retour, ma femme nous montra ses emplettes et nous informa qu’elle a fait la connaissance d’un marchand issu de notre région d’Algerie. Il avait un étalage de fruits et légumes et vivait seul dans une caravane ou une roulotte, juste derrière ses marchandises. Elle voulait lui offrir, pour cet après-midi, un plat de notre repas.
    
    A quinze heures, on est allé le voir et il nous a ouvert sa caravane. C’était un grand gaillard très brun ayant une belle moustache et comme il n’était qu’en tricot de corps, on voyait sa large poitrine et ...
    ... ses gros bras très musclés et très poilus. Il se vêtit d’une chemise et ma femme lui présenta son plat. Il nous remercia et nous avons bavardé en arabe pendant presque une demi-heure. Il était âgé de trente ans et vivait seul en France depuis plus de dix ans.
    
    J’ai constaté, dès le début, qu’il regardait ma femme avec un intérêt assez poussé. Et avant qu’il ne mette sa chemise, j’ai, également, observé, chez ma femme le même intérêt pour lui. Elle le dévorait des yeux comme hypnotisée par son corps poilu. Il faut dire qu’il se dégage de ce homme une sorte de puissance mâle qui a du ébranler les sens de ma femme qui n’a jamais été en présence d’une telle chose avant notre arrivée en France.
    
    Le gars nous interrogeait sur le pays et c’est ma femme qui prenait l’initiative de lui répondre sans me laisser le temps de placer un mot. Elle parlait avec assurance et ses yeux ne quittaient pas un instant le jeune marchand. J’étais un peu jaloux et fâché, mais je laissais faire.
    
    De son coté, le marchant ne se gênait pas de scruter le sillon des seins de ma femme. Puis, il nous offrit du café et ensuite c’est ma femme qui lui proposa de laver les tasses sur le petit évier du coin. Il accepta en riant et que cela lui rappelait sa famille au bled.
    
    Ma femme était penchée sur l’évier et sa robe remontait un peu par derrière. On voyait nettement une partie de ses belles cuisses et le jeune homme la regardait en permanenc et c’est moi qui étais gêné. J »étais sur qu’il bandait sur le ...
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