1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (1)


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... son zob dans la chatte de ma femme, dont les jambes étaient levées et croisées sur le dos du marchand. Ils étaient nus tous les deux et couchés sur une litière de l’autre coté de la fenêtre. Je voyais de temps à autre, le zob brun de l’homme qui sortait et rentrait dans la chatte de ma femme.
    
    C’était la première fois que je voyais, à nu, le sexe de ma femme, ses jambes et ses cuisses, bien écartées et même ses fesses et parfois son anus. Elle était belle et très désirable et, oubliant l’homme qui lui pilonnait la chatte, j’avais envie, à cet instant, de ma femme.
    
    Au lieu de désirer la tuer et son homme avec, leurs ébats passionnés et qui faisaient crier ma femme de plaisir m’excitaient et me faisaient bander. J’ai sorti mon zob et doucement j’ai commencé à me masturber, en solitaire, comme à mon habitude depuis quelques années.
    
    Les cuisses et les fesses de ma femme étaient d’une douce blancheur contrastant avec le corps très brun, presque noir et poilu de l’homme. En voyant le zob du marchant, je croyais trouver un monstre mais en réalité, même gonflé, il n’était pas plus gros que le mien. Ma femme se trompait quant elle comparait son zob au lion et le mien au rat.
    
    Et comment pouvait-elle comparer, puisqu’elle n’avait jamais vu, à jour, mon zob nu et gonflé. Elle le sentait dans son sexe pendant nos ébats mais elle pouvait seulement fantasmer. Aujourd’hui, elle pouvait voir, toucher, branler et admirer le zob poilu de ce jeune homme en pleine lumière et en ...
    ... jouir en toute nudité, libre de crier son plaisir et sa jouissance.
    
    Les seules différences entre nos zobs, c’est que le sien était très brun et poilu, peut-être suggestif et excitant pour ma femme, alors que le mien était plus clair et presque toujours bien rasé. Je crois qu’elle était totalement sous la folie du plaisir sexuel et avait envie de baiser coute que coute avec cet homme, c’est tout.
    
    Son zob n’etait pas plus gros que le mien qui, lorsque l’envie de baiser ma femme lui prenait, autrefois, devenait plus gros, plus long et plus épais que celui du marchant et la faisait haleter et gémir de plaisir, même discrètement.
    
    Hélas, tout cela c’était le passé, celui de nos jeunes années de mariage. Car, durant ces longues dernières années de lassitude maritale et de gestion harassante de famille nombreuse, nous nous sommes éloignés l’un de l’autre et mon zob avait déserté la chatte de ma femme et ne se gonflait que par mes masturbations.
    
    Je continuais à les observer. La puissance de cette saillie était animale. L’homme était fort et affamé et la femme totalement soumise à ses désirs sexuels et autant affamée de sexe que lui. Ils gémissaient ensemble et ma femme couinait encore plus sous les coups de reins violents. Ça a duré plus d’une demi heure et je suis resté ainsi derrière la fenêtre, patient et cocu à les observer. Je sentais en moi une rage contre ma femme et en même temps une certaine admiration pour cet homme.
    
    Sa virilité me subjuguait à tel point que je ...
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