1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1052)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... déconnectée des réalités bien concrètes de ma vie … hors d’ici. Tout se bousculait en moi, s’entrechoquait. La femme rebelle et indépendante et la femelle chienne qui sommeillait en moi sans même que sache, à l’époque, ce que ça voulait dire comme conséquences à venir …
    
    - Déshabille-toi, petite chienne, que j’admire à nouveau ta plastique !
    
    Comme je n’obtempérais pas, de ses yeux fusèrent des rayons lasers me faisant comprendre que sa patience atteignait des limites fort … dangereuses pour moi. Après un long soupir et le fixant fortement dans les yeux, je cédais à son impressionnant regard fixe, un regard dominateur, d’une profondeur inouïe, aux yeux d’un bleu azur merveilleusement envoutant. Et je laissais tomber lentement, très lentement, mon chemisier, dévoilant ma poitrine, puis tout aussi lentement, ma robe, me baissais pour la ramasser, quand tout à coup:
    
    - Reste droite ! Ne bouge plus et mets tes mains derrière ta nuque !
    
    J’obtempérais mais oubliais (exprès résistant encore) de Lui dire : « Oui Maître » Lui, très calme :
    
    - Tu sais à quoi tu t’engages à revenir ici !
    
    - Oui M…
    
    - Tais-toi, ordonna-t-il sèchement, ce n’est pas une question, mais une affirmation.
    
    Le Châtelain se leva, toujours avec son calme froid, glacial qui remplaçait efficacement tout débordement de sa part comme une éventuelle colère ou un quelconque énervement, oui c’est donc avec ce genre de calme linéaire, rigide qu’il s’approcha de moi pour me saisir de mes deux tétons. Le ...
    ... Noble me fixait durement tandis qu’il serrait, de plus en plus fortement, enfonçant ses ongles dans les chairs et les vrillant lourdement. Je me retenais de grimacer… Tout en les serrant abominablement et en me fixant toujours de son regard redoutable, le Marquis poursuivit :
    
    - En revenant ici, tu t’es engagée à devenir mienne, totalement, à plein temps… Cependant, as-tu pris tes dispositions concernant ta profession actuelle par exemple ?
    
    - Non, Maître.
    
    - Parfait !
    
    Délaissant mes tétons ce qui me fit souffrir quand il retira ses doigts, il rallia son bureau, mais resta debout. D’un signe de son index, il me fit signe d’approcher ce que je fis, me désigna le téléphone et dit :
    
    - Appelle ton agence, signifie ta démission et ensuite tu auras mes instructions.
    
    Incrédule, médusée, je restais coite, inerte ! Je ne m’en rendis pas compte sur le moment mais ensuite je compris ce qui allait suivre : Je le vis passer sa main sous son bureau appuyant sur une discrète sonnette, sur le moment je n’y fis pas attention, mais quelques secondes plus tard, un homme entra dans le bureau que je reconnus de suite, puisque il m’avait ouvert la porte d’entrée ! Le Noble lui dit :
    
    - Mon bon Walter, reste ici, derrière Ma chienne et prend la cravache là sur le rebord de la cheminée
    
    - Bien Monsieur le Marquis
    
    Les deux hommes se regardaient yeux dans les yeux comme communiquant entre eux sans paroles comme de bons vieux complices se connaissant parfaitement.
    
    - Voici Mes ...