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Un peu duchesse un peu P ...
Datte: 11/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... rendez-vous galant ! » Il me confirma que c'était cela en effet et que nombre de femmes de petite vertu dont certaines mariées et s’encanaillant recouraient à quelques alcôves au su du patron et cela avec la bénédiction des autorités. Il y avait des notables qui jouissaient de ce service. Il ne fallait pas leur troubler le plaisir. Je convins que le monde avait toujours fonctionné de la sorte. Je lui demandais s'il connaissait une de ces courtisanes avec laquelle je pourrais partager cette expérience qui me tentait à présent. Il me glissa un numéro de téléphone et dit : «Dites que vous venez de ma part de Fredo ». C'était une belle blonde vulgaire bien qu'elle vint d'un milieu bourgeois et fut mariée. J'eus après la baise, la confidence qu'elle faisait cela à l'occasion et que son mari était par trop radin et la frustrait de trop de fantaisies. L'intérêt de ma démarche est que je pus monter à cet étage et visiter une de mes fameuses alcôves. Il y en avait pour le total une dizaine se répartissant de part en part d'un grand couloir enluminé par une grande fenêtre au loin. Le lit prenait quasi la place d'une étroite pièce. Il y avait cependant à côté un coin de toilettes où se pouvait prodiguer l'hygiène élémentaire. C'était en ce moche royaume que venait régulièrement besogner ma tendre chérie. Sur ces sordides lits, elle assouvissait la jouissance de quelques-uns de ces porcs et familiers. On pouvait légitimement user du terme de prostitution. Mon ami-amante n'était ...
... rien moins qu'une putain et ses clients devaient lui témoigner le peu d'égards requis, lui demandant toutes sortes de cochonneries et l'affublant de noms et de termes peu amènes. Pouvait-elle se délester de ces impressions et souvenirs lorsqu'elle me caressait et me soufflait des mots tendres à l'oreille ? Cela m'exaspérait. Je poussais ma torture jusqu'au bout et vint à entamer des filatures à son encontre. Au bout de deux jours planqué dans ma voiture en bas de chez elle, je la vis apparaître et monter dans un autre voiture garée peu loin. Je suivis celle-ci un petit quart d'heure. Elle alla à un bois peu loin et dont il était notoire que voyous, amoureux et prostituées y sévissaient. La pudeur et dignité eussent exigé que je m'en tins là et repartit sur le champ car j'en savais assez. Or peu de minutes après l'on me vit ramper dans la nuit peu loin du véhicule. La lune prodiguant cependant à cet endroit assez de clarté Il y avait dedans un gros type chauve ayant conservé ses lunettes. Ma tendre chérie avait disparu dessous le volant. Il était évident qu'elle le gratifiait d'une de ses pipes dont elle avait le secret. L’opération dura longtemps. Le bougre en avait pour son pognon. Je vis enfin sa tête se relever. Je reconnus sa coiffure et ne pu examiner clairement ses traits dans la pénombre. C'était dommage car j'en aurais voulu saisir l'expression. Ils sortirent pour s’installer au mieux sur la banquette arrière. Débarrassée de son manteau, je lui vis avec surprise ...