1. Un peu duchesse un peu P ...


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... Nous déjeunerions ensuite en amis.
    
    Je dormis mal songeant trop à elle. Je m'en voulais d'être autant bouleversé. Je dus convenir trivialement que je voulais la posséder. Qu'elle fut bientôt dans mon lit. Il n'y avait pas d'autre moyen de se débarrasser d'une obsession. Tôt le matin, je nettoyais et récurait pour rendre mon bouge présentable. Je mis au frais une bouteille de ce champagne dont elle raffolait. Elle fut ponctuelle. Je remarquais son maquillage peu outré et une mise des plus sobre et cependant sexy.
    
    Il fut vite fait le tour d'un appartement exigu. Bientôt cuisses croisées, elle trônait dans un fauteuil.
    
    Le champagne achevât de nous amener à une certaine euphorie dont témoignèrent des fous rires vains et sans objet. Nous en étions déjà au tutoiement presque amoureux. Je lui avouais sans ambages que je la trouvais belle femme pour son âge. Rebondissant dessus, elle me jetât : « Au point de me vouloir dans ton lit ? » Mon silence lourd de sous-entendus éloquents fut ma réponse toute édifiante. Alors elle se leva et telle une chatte vint se mettre à genoux jusqu'aux miens. On eût dit Cléopâtre face à son César. Je la relevais bientôt et l’installais sur mes genoux pour l'embrasser.
    
    Le lit fut aussitôt investi. Nous baisâmes ainsi deux longues heures. Tout fut confirmé. Ce fut fougueux. Je me surpassais dans l'effort. Ce bel a****l en valait la peine. Je n'avais pas souvenir d'avoir fait l'amour de le sorte depuis longtemps. J'étais heureux au possible ...
    ... dans ses bras. Je lui souhaitais qu'elle devint mon amante. Ma porte, mon lit lui seraient toujours ouverts. Elle rit. Elle trouvait que nous allions trop vite. Il fallait nous ménager n'est-ce pas ? Qui embrasse trop mal étreint. Il nous fallait nous résoudre au sage statut d'ami-amant. J'acceptais ce pertinent dispositif.
    
    Elle me devint une drogue. Je pense que cette passion charnelle fut réciproque. J'eus le tact cependant de ne plus paraître dans notre estaminet où je savais qu’elle allait comme à son habitude ce qui me chagrinait profondément. Elle n'avait pas renoncé à son commerce sordide. Je ne pouvais raisonnablement lui en parler en étant officiellement ignorant. C'était une épine dans notre pied. Il y a toujours le serpent dans chaque paradis. Cela me tourmentait trop. La jalousie était devenue si prégnante en moi. J'en voulus avoir le cœur net. Je décidais du coup à savoir de son autre vie.
    
    Ainsi vins-je un matin à l'estaminet la sachant absente à ce moment-là. Le serveur ne fut pas peu surpris de ma présence d'autant que je ne venais plus depuis longtemps. Je prétextais une mission sur Paris puis que j'avais attrapé une mauvaise grippe et enfin que j'avais voulu rompre avec ce rituel ici de l'après-midi. Il me dit que j'avais raison. Il faut des fois rompre avec la routine. A cet instant je vis un homme élégant emprunter l’escalier menant à l'étage. J'eus un sourire et clignement d’œil à l'égard du serveur lui disant peu après : «Tiens un qui va à son ...
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