1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... de la boulangerie. Une belle femme en grande blouse blanche, très souriante, leur ouvre la porte. Elle respire la féminité et la fraîcheur de vivre. Ses deux grosses tâches roses sur les joues, ses formes un peu rondes mais harmonieuses et son sourire très naturel lui donnent une allure très sensuelle :
    
    — Entrez, entrez, je vous attendais. Dimitri, monte au premier étage avec ton hôte, je vous rejoins dans un instant.
    
    Arrivé à l’étage, Dimitri s’affale dans un fauteuil et conseille à Edouard de s’asseoir. Sa tête commence à tourner. Un grand bol d’air lui ferait le plus grand bien. Quelques instants plus tard, la boulangère monte et s’adresse à Dimitri :
    
    — Voilà je suis à vous, fais donc les présentations.
    
    Dimitri présente à grands traits Edouard à Béatrice, la belle boulangère, puis sa tête commençant à trop tourner déclare :
    
    — Béatrice, j’ai un peu trop abusé avec les apéritifs. Je vais prendre un peu l’air, cela me fera le plus grand bien. Je te laisse le soin de te présenter à mon jeune ami, de l’installer et de prendre bien soin de lui.
    — Et bien bonne bolée d’air frais.
    — À lundi à votre usine Monsieur Dumarez, rajoute Edouard.
    
    Béatrice raccompagne Dimitri au rez-de-chaussée, puis remonte de la boulangerie avec un plateau tout plein de bonnes choses. Elle tutoie d’entrée Edouard et lui parle sur un ton très maternel :
    
    — Assieds-toi à table, mon petit Edouard, nous allons manger un petit quelque chose, je pense que tu dois avoir faim.
    — Oui, ...
    ... assez, je suis levé depuis cinq heures et demie ce matin.
    — Je vais enlever ma blouse de travail et nous pourrons faire plus ample connaissance en mangeant. Veux-tu boire un petit peu de vin bien frais, mon petit Edouard ?
    — Avec plaisir, Madame.
    — Tu peux m’appeler Béatrice, « Madame » c’est quand même beaucoup trop distant.
    — C’est entendu, je vous appellerai Béatrice.
    
    Pendant tout le repas Béatrice parle. C’est la seule à parler. La mort de son mari artisan-boulanger il y a dix ans, son association avec une ancienne confiseuse pour faire une boulangerie-patisserie-confiserie digne de ce nom, la vie à Aubenas, la région, et tout, et tout, et tout…
    
    — Je ne fabrique plus rien moi-même. Le matin, je me lève à 6 heures, deux boulangers et deux pâtissiers des environs me livrent le pain et les gâteaux vers 7 heures, je prépare toute ma boutique et je l’ouvre une demi-heure après. Il ne faut pas que je manque l’heure d’arrivée des enfants à l’école, c’est là que je vends le plus de bonbons et de gâteaux secs.
    
    Edouard écoute cette femme, presque ébloui. Ses yeux sont fixés sur son chemisier dont les deux derniers boutons ne sont pas attachés et laissent entrevoir une poitrine qui semble généreuse. Quand elle se lève, on peut deviner sous sa robe un peu trop serrée la silhouette de sa petite culotte. Ses fesses ont l’air bien rondes et bien appétissantes.
    
    C’est avec une femme qui ressemble à Béatrice, qu’Edouard a découvert l’amour quand il avait quinze ans. Son père lui ...
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