La boulangère et l'étudiant
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Phileras, Source: Revebebe
... plaisir naissant. Elle a envie de râler, mais elle se retient. Quand Edouard sent que ses contractions sont trop fortes, il arrête les caresses avec sa langue de longues secondes, trop longues pour Béatrice, puis pour relancer son désir, il aspire son clitoris avec sa bouche et le pince avec ses lèvres. La sensation devient alors trop forte et Béatrice commence à soupirer, puis se ravise. Au bout d’un certain temps, beaucoup trop tôt pour Béatrice, sa grotte d’amour se transforme en fontaine abondante et onctueuse. Edouard s’en abreuve. La vague de plaisir n’est plus loin, Béatrice ne peut plus la retarder, mais le veut-elle vraiment ? Edouard sent les fesses de sa nouvelle amante se contracter à la folie, c’est le début d’un déchaînement de plaisirs qu’elle ne maîtrise pas. Ses râles se transforment en cris, elle aspire à une jouissance démesurée, la plus forte qu’elle n’ait jamais connue. Elle arrive avec violence, puis la passion s’apaise, les contractions de son corps se font plus faibles, et le calme revient. Edouard s’allonge à côté de Béatrice et lui enlève son bandeau :
— Voilà le cadeau que je voulais te faire, ma belle Béa.
— Tu m’as fait crier, mon corps est trempé, tu es un démon de me donner autant de plaisir.
— Ne crains rien, la boulangerie est fermée depuis longtemps, personne ne peut nous entendre.
— En tout cas merci pour ton beau cadeau. J’ai l’impression que certaines femmes t’ont inculqué le raffinement en amour.
— Principalement une, et je t’en ...
... ferai profiter.
— Une jeune ou une vieille ?
— Une femme mariée qui avait beaucoup lu sur le sujet et qui a fait avec moi ce qu’elle n’a jamais osé faire avec son mari beaucoup plus âgé qu’elle, je t’en avais dit deux mots tout à l’heure à table.
— Et bien ça promet. À mon tour de te faire un cadeau.
Béatrice s’allonge en travers et commence à lécher le sexe de son amant avec sa langue, goulûment, comme une sucette :
— Remonte tes jambes vers moi, ma belle Béa, je veux pouvoir caresser tes cuisses et tes fesses pendant que tu t’occupes de moi.
— Mais sois gentil, ne touche plus à mon minou, il n’en peut plus et il devient douloureux.
Béatrice se repositionne. Avec sa main Edouard peut lui caresser ses deux globes fessiers qu’il affectionne tout particulièrement. Sa peau douce et soyeuse est encore un peu humide. Une conséquence de la vague de plaisir qui vient de la submerger.
Béatrice met l’extrémité du sexe de son amant dans sa bouche. Elle l’aspire, le caresse avec ses lèvres et sa langue, et le mordille un peu avec ses dents. La manière dont Edouard lui caresse ses fesses et ses cuisses la renseigne sur la montée de son plaisir. Elle sait qu’elle peut encore prendre son temps. Le corps de son amant est toujours parfaitement détendu. Puis soudain, le temps passant, quand la main d’Edouard ne caresse plus, mais commence à serrer et à pincer, quand son souffle se fait plus rapide, quand les premières gouttes de plaisir apparaissent, elle sait que le moment ...