La boulangère et l'étudiant
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Phileras, Source: Revebebe
... supplément de glace. De retour elle relance la discussion :
— Pour en revenir à nous deux, il n’est pas dans mes intentions de t’empêcher de sortir le soir. Si tu ne viens pas dîner un soir préviens-moi un peu à l’avance, que je ne prépare pas le dîner pour rien. N’oublie pas que je suis toujours officiellement ta logeuse et que tous tes frais sont pris en charge par Dimitri. Si tu t’absentes pour une nuit ou plus, dis-le moi aussi à l’avance. À mon âge on n’a plus réellement le droit d’être jalouse, il faut savoir composer et faire preuve de souplesse. C’est difficile d’empêcher un jeune garçon de papillonner avec des filles de son âge. Mais n’en profite pas pour me laisser tomber comme une vieille chaussette.
— C’est la moindre des politesses et ce n’est pas mon style.
— Une dernière chose, à propos des compliments. Ne m’en fais pas si tu ne le penses pas. Je suis une femme très franche, très honnête, mais malheureusement très sensible.
— Sur tous ces points, tu as ma parole. Mon père m’a toujours dit qu’on pouvait jouer avec le corps d’une femme, mais jamais avec ses sentiments.
— Sur ce point, ton père a complètement raison.
Béatrice et Edouard remontent dans la chambre et se débarrassent de leurs peignoirs. Béatrice se glisse dans le lit et lui demande de le rejoindre. En réponse, il arrache le drap qui la recouvre et lui dit :
— Je veux te regarder toute nue sur le lit avant de te faire un cadeau.
— Depuis tout à l’heure, tu ne m’as pas assez détaillé ...
... ?
— Non, je ne suis pas encore rassasié.
— C’est déjà un gentil cadeau de me dire ça, mon petit Edouard.
— Ce n’est pas encore le cadeau que je veux te faire, par contre, je vais avoir besoin d’un foulard.
— Tu veux m’attacher ?
— Non, simplement te bander les yeux, si tu veux bien te laisser faire.
— Il y en a plusieurs dans mon armoire.
— Ne t’inquiètes pas, il ne m’en faut qu’un seul.
Edouard prend un foulard dans l’armoire et avec beaucoup de délicatesse bande les yeux de Béatrice qui est allongée sur le dos, un gros coussin sous la tête :
— Replie tes jambes vers toi et écarte-les.
— Tu veux m’observer en détail sans que je puisse te voir ?
— Je ne te répondrai pas. Caresse fermement tes seins avec tes mains.
— Edouard, tu m’inquiètes.
— Pince le bout de tes seins, et ne dis plus rien, j’adore quand une femme martyrise un peu sa poitrine.
Pendant que Béatrice s’exécute, Edouard se met au pied du lit et glisse sa tête entre les cuisses de Béatrice qui n’a pas pu le voir venir :
— Edouard que fais-tu ?
— Je prépare mon cadeau, reste silencieuse.
Les parties intimes de Béatrice sont grandes ouvertes et s’offrent à la langue d’Edouard qui peut tout explorer, ses lèvres, son clitoris et sa grotte d’amour. Béatrice serre un peu ses cuisses contre la tête d’Edouard, mais pas trop fort pour ne pas lui faire mal. Elle ne parvient pas à cacher les petits tremblements qui parcourent son corps. Elle coule de plus en plus et Edouard boit presque goulûment son ...