Le retour de Monsieur de Sombreuil
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
nympho,
soubrette,
noculotte,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... s’endorment rapidement. Le lendemain matin, Charles étant appelé tôt par ses devoirs, seuls de rapides baisers sont échangés avant qu’il ne parte. Ils auraient volontiers été plus démonstratifs.
Ce jour durant, le vice-amiral travaille d’arrache-pied sur des dossiers d’armement, de carénage et de réparation de vaisseaux. Le soir, il reçoit un message de Claire lui confirmant le départ de son père le lendemain et qu’elle l’attend le soir. De son côté, Madame de Pierrenoire va rendre visite au correspondant de Sa Gracieuse Majesté pour l’informer des dernières nouvelles.
Il n’est point besoin, le jour dit, de traîner Monsieur de Sombreuil vers le passage que Perrine a ouvert à son intention. Mademoiselle de Villerutay l’attend de pied ferme en tenue d’Ève. Elle lui saute quasi dessus pour le dévêtir, ce qu’elle fait avec une remarquable célérité, et l’entraîne vers le lit pour un tête-bêche, bien qu’elle n’ait nul besoin de stimuli : son intimité est déjà épanouie et lubrifiée. Elle-même n’insiste point trop pour ne pas risquer d’épuiser trop vite son amoureux. Elle profite du cunnilingus. Elle est, à plusieurs reprises, secouée de frissons de plaisir.
Après ces amuse-bouches, passer à des choses plus consistantes n’est pas pour lui déplaire. Elle est aux anges quand Charles l’enfile. Elle attendait ce moment depuis son dépucelage, il y a trop de semaines. Bien sûr, elle s’était souvent caressée pour tromper ses manques de queue et avait même une fois usé d’une ...
... carotte, mais cela n’est point semblable à sentir la chaleur d’un homme, ses baisers, ses mains vous peloter et son vit vous ramoner.
Ce premier engagement la comble, mais lorsque Charles se retire pour décharger sur son mont de Vénus, elle s’empresse de le sucer pour un second, en levrette cette fois. Elle apprécie cette position où son amant peut donner plus d’ampleur et de force à ses allées et venues. Quand il se vide sur ses fesses, nullement rassasiée, elle replonge pour un nouveau pompier.
Pour le nouvel assaut qu’elle envisage, elle demande au vice-amiral d’oindre sa rosette, car c’est dans cet étroit chemin qu’elle l’attend. Il ne se fait pas prier pour accéder à ses désirs. L’admission se fait sans inconvénient. Le cul de Claire s’ouvre sans difficulté et absorbe le gourdin avec aisance. Charles commence avec une certaine modération puis, voyant comment réagit la demoiselle, y va de plus en plus fort. Elle met le même enthousiasme à se faire labourer le troufignon que lors de l’inauguration d’icelui, et ce n’est pas peu dire ! Il avait alors été étonné de la fougue qu’avait mise Claire à la gymnastique génésique pour sa première. La seconde n’a rien à lui envier. Charles, qui a de la résistance, après l’avoir défoncée – le terme n’est pas exagéré – un bon quart d’heure, se vide dans ses boyaux.
Avec vivacité Claire se retourne et, oubliant dans son impatience de l’essuyer, embouche le sexe. Elle œuvre jusqu’à ce qu’il retrouve bonne fermeté. Elle s’allonge alors ...