1. Le retour de Monsieur de Sombreuil


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fh, fhhh, nympho, soubrette, noculotte, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... pouces, d’un diamètre de deux, enfoncés entre les fesses.
    
    Ils se rendent à l’endroit où la baignoire a été dressée, se dévêtent de concert et se plongent dans l’eau. L’intermède avec Marguerite les ayant émoustillés, ils se bécotent et se lutinent d’abondance. En sortant du bain, ils oublient espion et renseignements pour, sitôt séchés, aller vers le lit. Charles y pousse Anaïs pour s’agenouiller, écarter ses cuisses et la langueter. La dame aime le procédé et le manifeste. En échange, elle l’attire pour le pomper jusqu’au lâcher de crème. Icelui ne l’interrompt qu’à peine. Elle poursuit son affaire pour garder à la tige la fermeté idoine.
    
    Elle l’accueille alors dans sa grotte béante et emprisonne son amant de ses jambes et de ses bras. Disposition inutile car il ne cherche aucunement à fuir ; au contraire, il semble qu’il veuille la fouailler au plus profond. Commencé sous de tels auspices, l’après-midi se passe de la plus agréable manière. Charles se vide de nouveau par trois fois, tantôt sur les fesses quand il la baise en levrette, tantôt sur le ventre quand cela est en missionnaire. Entre chaque, la marquise ne marchande point l’usage de ses lèvres, de sa langue et de ses doigts pour le faire revenir raide, le tout entrecoupé de câlins et tendresses.
    
    C’est un peu fatigués par leur entrain génésique qu’ils se lèvent. Le temps a passé fort vite à si plaisantes occupations et déjà l’heure du dîner approche. Le comte reste pour le repas. C’est Marguerite qui ...
    ... assure le service. Elle a toujours l’air fort à l’aise, va, vient, descend à la cave, remonte, se baisse, se redresse avec naturel. Une fois desservi, elle revient :
    
    — Je suis aux ordres de Madame.
    — Je crois qu’il serait souhaitable de procéder à une petite extraction.
    
    Incontinent, elle retire ses vêtements qu’elle plie soigneusement et s’agenouille, jambes largement ouvertes. La marquise défait le nœud. Sitôt la lanière lui passant entre les cuisses ôtée, la camériste y porte la main pour s’astiquer avec fougue. Anaïs se met à manœuvrer le manche avec une certaine vigueur qui visiblement plaît, en témoigne le ronronnement de la bénéficiaire. L’exercice dure et Marguerite jouit à trois reprises sans que cela éteigne son ardeur. C’est la quatrième qui la voit rendre les armes. Quasi, elle s’effondre. Ce voyant, la marquise retire le dard du si obligeant fourreau :
    
    — Voilà ; l’opération est finie. Tu peux disposer.
    
    La bonne reste plus d’une minute comme engourdie, sous l’œil à la fois intéressé et étonné du couple, avant de reprendre ses esprits et de se lever. Elle a les jambes en coton et le feu aux joues ; au cul aussi, d’ailleurs. La frénésie passée, elle sent présentement que sa porte étroite a été quelque peu malmenée. Elle récupère le fouet, ses affaires, fait révérence :
    
    — Je remercie Madame.
    
    Elle sort de la pièce en oubliant de se vêtir. Après cet intermède, le comte demeure pour la nuit. Fatigués de cette fertile journée, ils se couchent sagement et ...
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