1. Le retour de Monsieur de Sombreuil


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fh, fhhh, nympho, soubrette, noculotte, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... que tu en avais eu.
    
    La bonne rosit un peu plus et ne dit mot. La marquise enchaîne :
    
    — Allez ! Ne sois pas timide. Dis-nous sans mentir : as-tu aimé ?
    
    Marguerite se dandine un peu avant de répondre :
    
    — Au début, je n’ai point trop aimé ; cela me chauffait un peu. Le temps passant, ça a été mieux.
    — Et à la fin ?
    — Pour ne rien sceller, quand Madame a remué le manche, j’y ai trouvé plaisir.
    
    Un petit diablotin souffle à la marquise :
    
    — Serais-tu tentée par une récidive ?
    — Je suis aux ordres de Madame.
    — Je te ne l’ordonne pas : je te demande si cela t’agréerait.
    — S’il plaît à Madame, j’y suis disposée, répond-elle en rougissant franchement.
    
    Le comte et surtout la marquise sont pantois d’ouïr cette réponse. Malgré cela, elle est la première à revenir de son ébahissement :
    
    — En ce cas, va chercher ce qui est nécessaire.
    
    Sur une petite révérence, la bonne s’éloigne. Une fois qu’elle est sortie, le comte ne peut s’empêcher de remarquer :
    
    — Si je m’attendais ! Cela a dû vraiment lui plaire, pour accepter de recommencer sans se faire prier.
    — Oui-da, la drôlesse a plus aimé que je ne le présumais. J’avoue que cela me dépasse.
    
    Il faut moins de cinq minutes à Marguerite pour être de retour, munie du fouet et d’un petit flacon d’huile. Elle graisse le manche d’abondance avant de le déposer sur un torchon qu’elle a déployé sur un guéridon. Elle retire robe et chaussures pour se retrouver nue de la taille aux pieds. Elle se met à quatre pattes ...
    ... et se caresse. Après s’être frictionnée la moule un bon moment, elle oint ses doigts et se titille la pastille. Se sentant "à point" elle dit d’une voix enrouée :
    
    — Quand il plaira à Madame…
    
    Madame balance un moment à prier Charles de procéder, mais in fine choisit d’œuvrer, y trouvant une certaine appétence. Elle s’empare du fouet, en ajuste le pommeau à l’anus de sa camérière qui se paluche, et pousse doucement en vrillant. Le passage s’ouvre benoitement et le manche disparaît. La marquise, sous l’œil intéressé de Charles, manœuvre l’objet plusieurs minutes avant de nouer la mèche pour le maintenir en place :
    
    — Tu peux aller vaquer. Ah, j’oubliais : fais-nous préparer un bain.
    
    Marguerite se lève, fait une nouvelle révérence, toujours cul nu ; enfin, presque, puisqu’il est occupé, en disant :
    
    — Bien, Madame.
    
    Puis elle reprend ses vêtements, s’habille et sort de la pièce d’un pas alerte, suivie du regard étonné des deux amants qui font encore quelques commentaires sur le fondement défoncé de la bonne, et surtout du goût qu’elle en a, se demandant si elle n’a pas pratiqué par elle-même hors de leur sollicitation. Charles se garde de mentionner Claire, qui a elle aussi prisé – et ce dès la première fois – se faire casser le coco. Ils abordent ensuite, à basse voix, ce qu’Anaïs doit transmettre à l’espion glaisan. Ils n’ont pas le temps d’achever que Marguerite vient les avertir que le bain est prêt. En la voyant évoluer, rien ne laisse supposer qu’elle a sept ...
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