Premier fantasme exaucé - Histoires de Sexe

Premier fantasme exaucé

... laisse totalement faire.

— Ils ont l’air d’être bien fermes et bien gorgés…

Il passe maintenant sa baguette sur chacun de mes tétons par-dessus le tissu de ma lingerie. Je les sens durcir. Il passe la baguette sous les bonnets pour les soulever. Il me fait mal, insiste et libère mes seins. Mes tétons sont tout dressés.

— Ils sont beaux et fièrement dressés. Félicitations, Marie. Vous vous les touchez quand vous vous masturbez ?
— Cela ne vous regarde pas ! Faites ce que vous avez à faire, mais ne comptez pas sur moi pour entrer dans la complicité de cet acte abject.

Je prends volontairement un air renfrogné. Il semble aimer cela…

— Ma petite, il va falloir être plus coopérante… Sinon notre accord sera caduc. Levez-vous, maintenant…

Je me lève, les seins à l’air, surgissant de ma robe échancrée jusqu’à la taille, le soutien-gorge au-dessus, comme un collier ridicule.

— Approchez… Encore…

Il passe sa baguette entre mes cuisses et soulève ma robe jusqu’à dévoiler ma culotte.

— Hum ! Combien de mains ont touché ses magnifiques cuisses rondes ? Tournez-vous !

Il répète l’opération dans l’autre sens.

— Combien d’hommes ont admiré ces globes parfaits, ronds et fermes ? Approchez-vous de moi que je vous débarrasse de votre inutile brassière !

Il dégrafe mon soutien-gorge. Je suis entre son bureau et lui, et ne peux m’empêcher d’observer la bosse impressionnante formée par son sexe en érection.

— Mon membre semble t’intéresser, on dirait…
— En ...

... rêve, espèce de dégueulasse !

Il se lève, défait sa ceinture, laisse tomber son pantalon et ôte son slip qu’il écarte du pied et s’installe sur le bord de son bureau. Son sexe est en érection ; il est exceptionnel : près d’une vingtaine de centimètres, et d’une grosseur exceptionnelle. Je ne peux m’empêcher de me souvenir des va-et-vient dans le vagin d’Anna Bideau.

Il appuie maintenant ses jambes sur la chaise devant le bureau et les écarte.

— Prenez mon pénis en main… Oui, continue. Branle-moi avec tes mains.

C’est doux. Je le masturbe. Je le décalotte et le recalotte.

Il met ses mains sur mes seins et me pelote.

Je retrouve la vision troublante de ce sexe puissant que j’avais vu lorsque je l’avais surpris avec madame Bideau.

— Les testicules, Marie. Touchez-les moi.

Ils se sont rétractés et la peau a durci. Je passe ma main dessous et les caresse.

— Votre langue dessus, maintenant.

Je m’agenouille et me retrouve sous sa verge. Il bascule un peu en arrière. Je les lui lèche maintenant.

— Oui, c’est bon !

Il me caresse les cheveux.

— Votre langue : sous mes testicules, au-dessus de l’anus.

Je m’exécute et il gémit. Sa verge palpite.

— Passez votre langue sur la hampe maintenant…

Je donne des petits coups de langue depuis ses testicules jusqu’à son gland. Il émet des petits sifflements en aspirant et en se mordant les lèvres.

— Vos petits coups de langue : sur le frein. Ah oui, le frein. Sous le gland.

Je le satisfais. Une ...