Premier fantasme exaucé
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
école,
jeu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Collègues / Travail
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
... vous m’avez averti, j’ai fait des recherches. Je suis en mesure de pouvoir le remplacer pour une somme de 3000 €. Il en existe un seul autre sur le marché français, à l’heure actuelle. Je vais donc vous demander un chèque de cette somme pour le réserver tout de suite.
— Monsieur Heins… je n’ai pas cette somme. Je suis navrée ; engagez-moi durant tout l’été prochain en guise de remboursement, je ne sais pas…
— Je suis désolé, mais si je ne le remplace pas rapidement, je devrais signaler cette disparition et celle qui en est la cause à la présidence de l’Université, et ceci dans les plus brefs délais. Je n’ai pas d’autre alternative que d’en acheter un rapidement si vous voulez que cela reste entre nous.
— Mais je ne peux pas le payer ! Mes proches n’en ont pas plus les moyens, et je ne peux prendre de crédit avec mon absence de revenus fixes, dis-je en gémissant.
— Alors je ne peux rien pour vous.
Je me mets à faire semblant de sangloter.
— Je vous en prie… Il faut trouver une solution. Je suis sûre que vous pouvez en trouver une.
— Allons, ne vous mettez pas dans tous ces états. Je crois que je peux vous aider à rembourser.
Je fais mine de reprendre espoir.
— Oui, dites-moi… Je suis prête à travailler quand vous le souhaitez.
— Non ; je pense que vous possédez quelque chose qui a beaucoup de valeur.
Je fais semblant de chercher des bijoux à mon poignet, autour de mon cou.
— Je ne possède rien qui ait de la valeur. Même ma montre ne vaut pas ...
... grand-chose.
— Je crois que votre plus beau bijou, c’est vous !
— Enfin, je… je ne comprends pas.
— Ne me dites pas que vous ne savez pas que vous êtes très jolie, Marie ?
— Comment ça ? Vous voulez dire… Mon Dieu, quelle horreur !
Je me lève et me dirige vers la porte.
— Je vous aurai laissé une chance, Marie. Tant pis…
De dos, la main sur la poignée, je fais semblant de réfléchir. Je lui réponds alors d’un ton que je veux neutre, limite lugubre.
— Que voulez-vous de moi ?
— Disposer de votre corps de jeune et jolie jeune femme.
— Disposer… Que voulez-vous dire ?
— En faire libre usage.
— Vous voulez dire regarder…
— Oui, mais tout le reste aussi.
— Et je serai tranquille ensuite ?
— Oui ; vous n’entendrez plus parler de ce livre.
Je fais mine d’acquiescer en retournant m’asseoir dans le fauteuil.
— Bien, bien, bien… Vous avez une poitrine intéressante. Combien faites-vous ?
— 95C.
— Elle doit attirer les regards des hommes, n’est-ce pas ?
— Oui, c’est vrai, depuis toute jeune.
— Quand vous a-t-on pelotée pour la première fois ?
— À 15 ans, durant un slow ; j’ai laissé mon cavalier me pétrir les seins.
— Déboutonnez-vous que je voie à quoi ressemblent ces beaux fruits.
Je retire les boutons de ma robe jusqu’à la taille, mais sans en faire plus. Il ouvre le tiroir de son bureau et en sort une baguette de bois d’une cinquantaine de centimètres, la dirige vers mon buste et écarte les pans de ma robe, dévoilant ainsi mon soutien-gorge noir. Je me ...