1. Premier fantasme exaucé


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, hplusag, grossexe, école, jeu, Voyeur / Exhib / Nudisme Collègues / Travail Auteur: Maelys, Source: Revebebe

    ... Vous pouvez le prouver ?
    — Pfuhhhh ! Tu sais bien que non ! Écoute, je ne suis pas d’humeur, aujourd’hui !
    — Je vais devoir sévir, vous le savez… Un retrait de salaire correspondant à cet achat non motivé !
    
    La bibliothécaire semble résignée.
    
    — Bon, d’accord… Non, je vous en prie. Ce mois-ci, il y les impôts.
    — Je vois bien une manière de s’arranger, mais…
    — Dites : je souhaite trouver un arrangement.
    — Si vous m’offrez votre sexe, je passe l’éponge.
    — Vous voulez dire, le voir, le toucher ?
    — Non : en faire usage avec le mien.
    
    Ce qu’est en train de jouer ce couple d’adultes, certes illégitime, c’est jouer de la situation pour s’exciter. Il n’y a pas que de la tendresse ; il y a aussi la volonté d’éveiller l’autre à des pensées inavouables qui font écho en moi. Je trouve le viol révoltant, criminel et destructeur. Par contre, je dois bien avouer avoir fait des rêves où l’on me possédait sous la contrainte, comme un objet, et de m’être réveillée le sexe trempé. Je commence à éprouver un certain émoi dans mon bas-ventre.
    
    Monsieur Heins ouvre son tiroir, en tire un préservatif et un tube de gel. Il recule son fauteuil et se lève, puis débarrasse le bureau des documents qu’il consultait. Le scénario qu’ils se mettent à jouer est ahurissant, mais je le ressens comme tellement excitant… J’ai envie d’être à la place d’Anna.
    
    — Allez, Madame, penchez-vous sur mon bureau : vous allez devoir être sanctionnée comme il se doit.
    
    Elle s’exécute, se penche en avant ...
    ... sur le bureau.
    
    — Relevez votre jupe… Plus haut !
    
    Elle porte effectivement un porte-jarretelles noir et une petite culotte de la même couleur.
    
    — Baissez votre culotte, maintenant !
    
    Elle la baisse sur les genoux et la laisse tomber au sol. Je ne peux voir totalement son sexe mais je vois la main de monsieur Heins se glisser entre ses cuisses et ses doigts s’y enfoncer. Anna se crispe un peu, elle se cambre.
    
    — Je n’aurai même pas besoin de lubrifiant sur mon préservatif…
    
    Il déboutonne son pantalon, le retire ainsi que son slip. Oh, merde ! Son sexe est énorme : jamais vu plus gros et plus long. Au moins vingt centimètres, et courbé vers le haut. Monstrueux. Il enfile son préservatif qui lui arrive à peu près à la moitié de sa verge. Anna le regarde faire en tournant sa tête.
    
    — Ecarte plus les jambes…
    
    Anna s’exécute. Je commence à mouiller et je passe la main sur mon jean entre mes cuisses. Je vois monsieur Heins fléchir un peu les jambes, se cambrer et poser son gland. Il ne touche pas Anna. Il semble ne pas parvenir à le placer sur son vagin mais les deux amants semblent trouver cette maladresse délicieuse.
    
    — Mon pieu va trouver ta grotte, ma belle. Laisse-lui le temps.
    
    Après quelques mouvements, je vois son pénis disparaître lentement des trois quarts entre les cuisses d’Anna. Il s’appuie sur le bureau, de part et d’autre de son bassin et entame de violents coups de boutoir qui font bouger le bureau sur lequel, passive, Anna commence à gémir. C’est ...
«1234...10»