Parfum frelaté d'Arabie
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... chéri! Ouiiiii! vas y plus fort! Mmmmm! ouiii! encore! encore!" Je criais dans le téléphone pendant que François me besognait le vagin d'un sexe dur comme un pieu, me pilonnant l'utérus de son grand marteau.
Georges m'encourageait au bout du fil: "Oui ma chérie, masturbe toi comme je le fais en ce moment! Oh oui vas y prends ton plaisir ma chérie!"
Il n'avait pas besoin de m'encourager car François me pistonnais de grands coups de reins et je sentais venir le moment ou il exploserait en moi. Je l'interrogeais du regard, il m'encouragea à poursuivre et je continuais donc à exciter mon mari à l'autre bout du fil. Je lui disais combien sa bite me manquait, qu'à mon retour je me promettais de lui faire les plus intimes caresse, de lui ouvrir mes cuisses pour qu'il vienne en moi me donner son jus.
"Oh! oui, criais je dans le téléphone, je veux ton jus, je veux ton sperme! donne moi tout!"
En m'entendant crier ainsi, François s'arque bouta sur moi me tenant aux épaules il me pilonna de plus belle pendant que je gémissais et que j'entendais Georges gémir à l'autre bout du fil.
Quand François libéra sa semence dans mon ventre, je criais, atteignant l'orgasme, geignant et gémissant, offerte à lui, ressentant les tressaillements de sa bite comme autant de décharges électriques. A l'autre bout du fil, j'entendis Georges geindre et je sus que lui aussi venait de cracher son sperme.
J'avais le souffle court comme après une course, je ne pouvais plus rien dire et ...
... Georges devait percevoir que ce souffle court dans le téléphone. Je parvins à lui souffler un "Bonsoir mon amour!" avant de raccrocher et de me tourner vers François, de le retenir dans l'étau de mes cuisses, la bite plantée au fond de ma chatte.
Nous avions toute la nuit.
A notre réveil, le lendemain matin, nous avons refait l'amour en toute liberté et sans les contraintes que nous avions à Paris. Il m'a prise de façon fort ardente comme un adolescent et m'a saillie fort longtemps faisant de moi une femelle si excitée que j'étais prête aux extrémités les plus osées entre ses bras. Il m'a avoué qu'avec son épouse les transports amoureux étaient des plus réduits: sa femme était issue de la bourgeoisie la plus affirmée. Elevée chez les sœurs, sa femme fut tenue loin des choses du sexe pendant toute sa jeunesse. Ces bonnes sœurs frustrées ont tout fait pour lui dépeindre les choses de l'amour comme l'horreur absolue.
Inutile de dire qu'elle arriva vierge au mariage et que ce jour de grande fête, ou supposée être telle, la transporta dans les affres de l'angoissante appréhension. Sa mère, elle même fort bigote et coincée, ne l'avait pas rassurée en lui dépeignant l'acte sexuel comme quelque chose auquel elle devait se soumettre à son mari sans plaisir aucun. Elle ne lui avait pas caché la douleur de se faire pénétrer pour la première fois, le déchirement de l'hymen etc... Aussi la pauvre femme vécue sa noce comme la promesse d'un cauchemar à venir.
François lui avait vécu ...