1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... le chauffeur qui matait de plus en plus ouvertement dans le rétro. François m'embrassait à pleine bouche, sa main fourrageait sous ma jupe en me tirant de frissons, en un mot, François m'excitait de sa main qui caressait ma culotte. Je me suis donnée plus librement à ses explorations, ouvrant le compas de mes jambes, livrant le passage vers mon sexe encore humide du précédent attouchement qu'il avait subi à l'aéroport. François me fit la remarque "Dis donc, tu as apprécié les caresse douanières!" Je me récriais, lui disais que j'avais eu très peur, que ce pays était malsain, que je ne m'y sentais pas à l'aise, mais il me rassura en me disant qu'il était la, qu'il me protégeait. Sa main caressante fit le reste, je ne pouvais décidément pas lui interdire l'accès à ma chatte, François m'envoutait et il pouvait m'entrainer dans toutes sortes de situations salaces. Il a commencé à me masturber au travers de ma culotte devant les yeux de plus en plus brillants de notre chauffeur, ses doigts avaient trouvé mon clitoris et ils le caressaient d'une façon si experte, que je poussais un gémissement qui fit faire un écart au conducteur. François prit ma main et la guida vers sa braguette, je descendis le zip du pantalon et ma main se glissa dans son slip où je trouvais sa bite tendue. Je lui souris et je me mis à le caresser de mes doigts et je pouvais sentir ses spasmes qui faisaient tressauter délicieusement son membre. Je l'enfermais dans ma main, et commençait à lui prodiguer mes ...
    ... caresses. François se détendait, je savais lui faire du bien aussi je pris le temps de lui prodiguer une douce masturbation, sans vouloir à tout prix l'amener à la jouissance, juste un petit plaisir, comme une promesse.
    
    Ses doigts à lui devenaient plus insistants, il glissa même deux doigts sous ma culotte pour me caresser les lèvres intimes. Il me trouva humide et cela l'amusa: "Ma petite salope s'est faite exciter par un douanier?" me demanda t il en riant.
    
    Devant, le pakistanais en perdait les pédales. Il nous fit même peur en évitant au dernier moment une voiture. Il se reprit en s'excusant, mais ses yeux revinrent sans cesse entre mes cuisses ouvertes tout au long du trajet jusqu'à l'hôtel.
    
    Quand François l'eut payé, non sans lui demander en anglais si la course lui avait plu, nous retrouvâmes nos chambres, ou plutôt la suite qui était la notre avec deux chambres. Comme il faisait vraiment très chaud, nous nous sommes empressés de prendre une douche fraiche, et ce fut comme une jouvence de me glisser sous la pluie tiède de la douche. J'entendis François prendre une douche lui aussi. Puis je sortais de mon bain, je m'essuyais avant d'enfiler le peignoir qui m'attendait.
    
    Il était temps de téléphoner à Georges pour lui donner de mes nouvelles. Je pris le combiné et j'appelais Georges qui répondit à la seconde sonnerie. A sa voix inquiète je sentis qu'il attendait mon appel, je m'empressais de le rassurer, j'étais bien arrivée, oui, l'hôtel était très bien, etc.. ...
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