Parfum frelaté d'Arabie
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... prendre sauvagement, me monter et planter sa bite dans mon ventre, me ramoner le vagin jusqu'à me faire hurler ma jouissance. Mais tout cela lui était interdit, il le savait bien. Il était déjà en faute et il aurait pu se faire renvoyer sur le champ, peut être avec des coups de fouet en prime si cela arrivait aux oreilles de ses employeurs. Et puis, déposer son sperme au fond d'un ventre avait pour lui une signification bien précise dans sa civilisation. Aussi se contenta-t-il de me faire jouir par sa bouche et ses mains et je dois dire que je crus devenir folle sous toutes ces caresses. Quand j'eus atteint l'orgasme deux fois, je me trouvais sur le lit sans force et il me regardait en souriant, heureux de m'avoir apporté toutes ces délices. Je voulus le récompenser de ses bienfaits, lui faisant signe d'approcher, j'ouvrais son pantalon et comme auparavant dans la limousine, je pris son sexe en bouche. Cette fois je le suçais doucement avec application, laissant monter son désir en lui. Il ne tarda pas à me faire savoir qu'il approchait de l'extase, sa bite palpitait entre mes lèvres et je sentais aux coups de reins qu'il me dispensait, une indication que bientôt il allait jouir. Ses mains se sont crispées sur mes cheveux, me maintenant contre son bas ventre, le nez dans sa toison drue et il s'est mis à râler un bonheur que sans doute il ne connaitrait plus. Dans un cri sauvage, il s'est laissé aller dans ma bouche et son sperme par saccades a envahi ma gorge, me privant ...
... d'air quelques instant. Je fus surprise par le flot qui se rependait, je suffoquais, cherchant l'air qui ne venait pas. Un instant j'eus un haut le cœur qui envoya le sperme jusque dans mon nez, je me dégageais pour trouver de l'air, la bouche grande ouverte, le sperme coulant de la commissure des lèvres et du nez, toute barbouillée du flot épais. Il me sourit, contemplant le désordre qu'il venait de provoquer. Je me remis vite sur mes pieds, cherchant dans mon sac des kleenex pour me débarbouiller la figure. Il me regardait toujours en souriant, finissant par me proposer des lingettes qu'il gardait dans la voiture.
Nous avons repris la route rapidement car cet épisode nous avait mis en retard. En repassant la barrière, le bédouin m'a vue me débarbouiller au fond de la limousine et je dois dire qu'il avait l'air perplexe.
Mais mon travail ici n'était pas fini et dès le lendemain, François me demanda d'accompagner un saoudien qui voulait me faire visiter le souk. François m'expliqua que je ne pouvais pas m'y rendre habillée à l'européenne et qu'il fallait que je revête le costume local dévolu aux femmes, à savoir le tchador. J'en fus un peu contrariée de quitter mes jupes et corsage pour revêtir un truc un peu informe, mais bon, pas possible autrement de sortir en ville.
Ce matin donc, le saoudien est venu me chercher, il avait apporté le vêtement adéquat pour une telle sortie. François m'avait encouragée à porter mes collants fins et juste mes collants sans rien d'autre. ...