Des emplettes très spéciales
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
sexshop,
fsoumise,
hdomine,
nopéné,
fdanus,
journal,
Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe
... coupe. Chacun de mes pouces va frôler l’aréole en tournant autour du téton. C’est mécanique, les mamelons durcissent, deviennent granuleux sous mes doigts, les tétons se dressent. Je les prends alors en pince, entre le pouce et l’index et une sorte de décharge me parcourt tout le ventre et va résonner jusque dans mon sexe.
Je ferme les yeux pour mieux goûter. Mes autres doigts massent doucement les globes et je continue d’envoyer des décharges dans tout le corps. Ma respiration s’accélère et mon cœur cogne à grands coups. Mon sexe commence à réclamer mes soins. Ma main droite descend ; d’un doigt léger, je glisse sur la fente qui sépare mes lèvres, je la sens qui s’entrouvre. Inconsciemment j’écarte les cuisses découvrant mes nymphes congestionnées que mon doigt va palper. Que c’est bon ! Tout en haut, à la commissure, mon clitoris turgescent exige, implore que je m’occupe de lui.
J’ai beau connaître sa sensibilité, je sursaute et un profond frisson me parcourt quand je l’atteins. Mes cuisses se referment d’elles-mêmes, retenant ma main pour la presser dessus et prolonger ce délicieux contact.
Je suis perdue dans mes sensations délectables quand des secousses me font ouvrir les yeux. La voiture roule dans un chemin de terre entourée par des arbres. Elle s’arrête et Adrien descend. Mon rêve se réalise ! Il vient et s’assoit près de moi.
Il fouille dans le sac du sex-shop et en sort le bandeau :
— Mets-le !
Je le place sur les yeux et serre l’attache derrière ...
... la tête. Les yeux bandés, je ne suis plus que perceptions tactiles. Spontanément, je m’offre à lui ; mes épaules sur le dossier de la banquette, j’avance mes fesses au maximum en écartant les cuisses. Je me donne à lui.
Je sens ses mains sur mon ventre. C’est froid… il n’a pas retiré ses gants ! Comme hier, il refuse de toucher ma peau ! Je suis déçue…
Ses mains remontent, palpent ma poitrine. C’est plus fort que moi, le plaisir m’envahit à nouveau, mais les mains ne s’attardent pas, redescendent en glissant vers mon ventre. La sensation du cuir qui se réchauffe commence à m’être agréable. De deux doigts, il écarte ma vulve et, sans précaution, enfonce un doigt dans mon vagin ; je sursaute et crie. Ce type est infâme !
— Il va falloir que tu ramones tout ça sérieusement avec le godemiché cette nuit. Tu pourras prendre du plaisir si tu veux, ça m’est égal. Tourne-toi et mets-toi à genoux…
J’obéis. Je suis à genoux sur les coussins, le derrière tendu vers lui. Je sens ses gants sur mes fesses qu’il écarte. D’un doigt, il tapote sur mon anus :
— Ton petit trou, il va falloir l’assouplir, l’élargir, le préparer pour une pénétration.
— Oh non, pas ça…
— Comment non !
Et je reçois deux énormes claques sur les fesses. La douleur me fait pleurer dans le bandeau de cuir.
— Cette nuit, tu te serviras de la vaseline pour introduire un doigt, puis deux et plus si tu peux. Quand ce sera bien assoupli, tu enfonceras le petit plug que tu garderas toute la nuit. Demain ...