Des emplettes très spéciales
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
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Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe
Résumé du premier épisode : Anne-Céline Breillois de la Longinière, grande bourgeoise, plutôt frigide, épouse de François-Xavier, dirigeant d’une grosse entreprise internationale, est en vacances sans son mari ni son fils dans son château en Dordogne. Prise en flagrant délit de voyeurisme par Adrien, son chauffeur, elle tombe sous la domination de celui-ci. Au travers de sa soumission, elle commence à découvrir les plaisirs sensuels.
Jeudi 8 juillet – 10 h
J’ai passé une nuit horrible, tiraillée entre ma personnalité « normale » qui n’admet pas, qui ne comprend pas, mon comportement et ce rêve excitant, ce raz-de-marée de sensations nouvelles qui me bouleversent et m’empêchent de penser sainement. Pendant des heures, j’ai oscillé entre la raison et la folie sexuelle.
Par deux fois des orgasmes involontaires ont failli me balayer. Par deux fois, j’ai réussi à résister ; la seconde, j’ai même dû me lever pour aller me doucher…
Suis-je donc tellement sous l’emprise de cet homme que je lui obéisse, même dans ma plus stricte intimité ?
Mais qu’il est bon, ce trouble qui m’envahit à chaque fois que je me soumets à sa volonté !
Je vais le revoir tout à l’heure. Quand Hélène, ma femme de chambre, m’a apporté le petit déjeuner, j’ai demandé qu’on prévienne Adrien que je voulais le voir à 11 h.
J’ai longuement hésité avant de m’habiller. J’ai finalement opté pour un tailleur léger, couleur feuille-morte, dont la veste cintrée fait joliment ressortir ma poitrine. ...
... La jupe étroite, au-dessus du genou, met bien en valeur la ligne de mes hanches et de mes fesses ; sa coupe « en portefeuille » permet aussi, si je le désire, des effets de jambes qui ont toujours attiré vers moi le regard des mâles qui m’entourent. En dessous de la veste, j’ai enfilé un petit haut blanc en soie, opaque mais très souple, qui épouse ma poitrine libre de tout soutien. Deux très fines bretelles dégagent entièrement les épaules. C’est l’été et la chaleur est telle que je ne mets pas de bas, simplement des petits escarpins assortis au tailleur.
L’heure approche, je sens l’excitation qui monte en moi. Je vais le recevoir dans mon bureau.
Jeudi 8 juillet – 18 h
Quand je descends à 11 h, il est déjà dans le hall, dans son uniforme noir, la casquette à la main. Il discute avec Hélène. Malgré la chaleur qui monte en moi, à sa vue, je prends mon air autoritaire habituel.
— Bonjour Adrien. Allons dans le bureau, voulez-vous ?
— Bonjour Madame. Je vous suis.
— Hélène, s’il vous plaît, pouvez-vous prévenir la cuisinière que je ne déjeunerai pas ici ce midi.
— Bien Madame.
Et, d’un pas que je veux décidé, je rentre dans le bureau, disant sans me retourner :
— Fermez la porte et approchez.
Il ferme la porte, se retourne et s’appuie dessus en me regardant avec un petit sourire ironique :
— Maintenant, finie la comédie ! C’est toi qui approche… dit-il, à voix presque basse.
Ça me fouette et mon trouble devient extrême. Je me retourne lentement et, ...