Des emplettes très spéciales
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
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Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe
... les yeux baissés, je m’approche de lui. Son regard me détaille :
— Ouvre ta veste !
J’écarte les pans laissant voir mes seins dont les mamelons durcis aux pointes tendues se dessinent en relief sur la soie blanche.
— Baisse-toi un peu.
Il s’approche et, d’un doigt en crochet, il tire sur mon décolleté pour examiner mes seins. Je crois défaillir. Il le remarque :
— Tiens-toi, la journée ne fait que commencer. Remonte ta jupe !
Il a raison, ça ne fait que commencer et je suis déjà dans un état ! En soulevant ma jupe, je sens mon entrejambe suintant d’humidité. Me voilà devant lui, en escarpins et dénudée entièrement en dessous de la ceinture. La posture est humiliante, je suis mortifiée de honte et pourtant, quand je le regarde, une griserie de plaisir m’envahit toute entière qui vient tout balayer. Je suis prête à le supplier de me prendre, de me faire mal, n’importe quoi pourvu qu’il me touche !
— Tu m’as obéi, tu es excitante. C’est bien.
Ce compliment, allié à la bosse que je vois à son entrejambe déclenche en moi un début d’orgasme. Sous son regard foudroyant, j’écarte les cuisses, je respire à fond et ma tension s’estompe.
— Nous allons faire des courses, je te dirai quoi sur place. Je vais t’emmener assez loin pour que tu ne sois pas reconnue. Si j’ai bien compris, tu m’invites au restaurant. Alors, allons-y…
Un instant après, nous avons repris notre attitude « normale ». Il a de nouveau l’air d’un employé et moi, de sa patronne. Je vais ...
... prendre mon sac sur le bureau, il m’ouvre la porte et nous rejoignons la voiture qui attend sous le perron.
Obséquieusement, il m’ouvre la portière arrière qu’il referme doucement puis il s’installe devant le volant, met sa casquette, enfile ses gants de peau et démarre. Jusqu’à la nationale, nous n’échangeons pas un mot. J’observe seulement qu’il prend la direction d’Angoulême. Nous continuons à rouler en silence jusqu’aux portes de la ville. Là, par le rétroviseur, son regard se vrille dans le mien.
— Pour tous, bien sûr, je suis à ton service, mais rappelle-toi bien que tu es ma chose. Et, quoi que je demande, tu obéis.
Le « tu es ma chose » me hérisse, me révolte, c’est trop ! Je réagis. Mais il m’observe, alors il répète :
— Tu m’obéis !
Et toute contestation s’éteint en moi. Le malaise que je commençais à ressentir s’estompe : je suis bien, je n’ai qu’à obéir… je suis sa chose…
Il s’arrête devant une pharmacie.
— Tu laisses ta veste bien ouverte. Tu vas acheter des préservatifs et de la vaseline.
Sait-il que je n’ai jamais fait ce genre de course ? Une angoisse me monte à la gorge, je ne sais pas comment m’y prendre. Voyant qu’il allait parler, j’ouvre précipitamment la portière et descends.
L’officine est vieillotte et semble vide. Une cloche fait entendre un « Ding » retentissant quand je pousse la porte. L’odeur est particulière, piquante et enivrante. Un vieux bonhomme arrive du fond, il a une barbiche blanche et porte des lunettes aux verres ...