1. Des emplettes très spéciales


    Datte: 07/02/2019, Catégories: sexshop, fsoumise, hdomine, nopéné, fdanus, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... épais. D’emblée, son regard se fixe sur ma poitrine parfaitement dessinée sous l’étoffe.
    
    — Bonjour madame. Vous désirez ?
    
    Un instant, il a regardé mon visage puis, comme attirés par un aimant, ses yeux sont revenus se fixer sur mes mamelons parfaitement dessinés par la souplesse du tissu.
    
    — Bonjour monsieur, je voudrais des préservatifs.
    — Masculins, je présume. Quelle taille et en quelle quantité, boîte de dix, cinquante, cent ?
    
    Je vois au petit sourire qu’il arbore, qu’il a deviné mon trouble et il joue de moi. En temps normal, je l’aurais pris de haut et l’aurait remis à sa place mais là, ma gêne est telle que je me mets à bredouiller :
    
    — Pa… parce qu’il y a plusieurs tailles ?
    — Mais oui, madame. Tous les hommes ne sont pas faits pareils, vous savez…
    
    Sans que ses yeux ne quittent mes seins, il se fiche de moi. Je rougis jusqu’aux oreilles.
    
    — Bien sûr. Alors, donnez-moi des grandes tailles. Cinquante…
    
    Il me regarde enfin et ses yeux pétillent de malice :
    
    — Bon, je vous mets des « normales ». Vous verrez, ça ira.
    — Il faudrait aussi de la vaseline…
    — Vous savez, les capotes sont lubrifiées… mais, si vous insistez ! Tube, pot ?
    — Un gros tube, merci.
    
    Il me sert et place les deux boîtes dans un sac en papier. Je paye et sors. Sur le trottoir, je crois m’évanouir. Arrivée à la voiture, je m’écroule sur la banquette avec soulagement. Dans le rétroviseur, le regard est ironique ; je ferme les yeux.
    
    — Tu viens de vivre ce que tu demandes ...
    ... couramment à tes employés… Tu as tout ce qu’il faut ?
    
    Je lui tends le sac. « Pourvu que ça convienne, que je n’y retourne pas… ». Il sort mes achats, regarde et grogne.
    
    — Mmmm oui, ça ira ! Mais tu as vu grand : cinquante ! Gourmande !
    
    Nerveusement, j’éclate de rire. Il démarre et se dirige vers le centre-ville. Il se gare à l’ombre, dans une rue tranquille et se retourne vers moi.
    
    — Nous allons descendre et marcher un peu. Il y a une bonne brasserie pas loin. À partir de maintenant, pour tout le monde, je suis le chauffeur et toi la patronne. Mais rappelle-toi, c’est moi qui commande et toi, tu obéis. Nous irons en terrasse. Tu retireras ta veste et tu t’assiéras face à la rue. Assise sur le bord de la chaise et tu écarteras les cuisses.
    — Mais…
    
    Il n’écoute pas ma protestation et poursuit :
    
    — Quand les gens vont te regarder, je veux que tu les fixes, toi aussi. Tu dois être fière de ton corps, fière d’exciter les mâles qui te regardent. Tu verras, c’est un nouveau plaisir que tu vas découvrir…
    
    Arrivés à la brasserie, tout se passe comme prévu. La terrasse est sur une estrade surélevée de trois marches. Nous prenons une table en bordure. Je retire ma veste que je place sur le dossier de la chaise face à la rue. Galamment, Adrien me présente la chaise pour que je m’assoie. Comme il me l’a prescrit, je pose mes fesses complètement sur le bord de l’assise. Lui-même s’assoit à ma gauche, perpendiculairement à moi, en bout de table.
    
    Un coup de genou discret me ...
«1234...7»