1. La punition de la directrice (3)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... travailler de plus en plus vite. Je lâche de temps en temps sa taille pour attraper son collier et lui tirer son cou en arrière, lui rappeler qu’elle est une soumise qui a une dette à payer, qui doit être punie pour sa négligence.
    
    J’attrape ses deux grosses mamelles et les pétris à pleines mains, les malaxe sans douceur ; les pointes toutes durcies par le désir roulent entre mes doigts vengeurs, je lui arrache des cris.
    
    Elle se met à râler, à crier, à perdre tout contrôle, elle jouit sans retenue ! Je reçois des jets de mouille sur le pubis, elle m’inonde.
    
    « - Et en plus tu prends ton pied, grosse chienne ! » dis-je en me retirant, comme si je voulais lui dénier le droit au plaisir.
    
    Et d’une main rageuse je me mets à la fesser vigoureusement, alternant une fesse après l’autre. Les belles masses de chair bien élastiques valsent. Elle gueule, proteste.
    
    « - Tu n’as - que - ce que - tu mérites ! Pense bien - à - ce que tu - as fait - aux jeunes vies - que tu as risquées - par ton inconséquence - ta fainéantise - ta désinvolture ! Serre les dents - et prends - cette correction - comme une chance ! »
    
    Ma diction est hachée, car je ponctue chaque morceau de phrase par une claque bien appuyée, qui laisse une marque rouge pâle sur sa peau mate.
    
    Elle renifle, renâcle, proteste mollement, mais sous mes arguments et la pression de ma main gauche qui lui maintient la nuque elle renonce à se rebeller, à essayer d’échapper aux claques sur son valseur.
    
    Après tout ça ...
    ... n’est qu’une fessée – bien ferme, bien appuyée il est vrai, mais ça n’est pas une petite fille, elle peut la supporter, elle est en âge d’endurer une cuisson comme celle-ci sur la peau de son cul – et je pourrais me mettre à la fouetter violemment avec ma ceinture (un bon tannage de cul n’a jamais tué personne, et encore moins une quadra chic et hautaine), d’autant qu’elle l’a amplement méritée, mais je ne tiens pas à la marquer visiblement, physiquement ni dans sa chair, et je sais qu’elle acceptera la punition tant que ça lui procurera un minimum de plaisir.
    
    Je finis par des claques moins fortes sur la peau tendre de ses cuisses (plus sensibles) qui lui arrachent des cris et les changent rapidement de couleur mais je m’arrête bien vite.
    
    J’attrape le pot de margarine sur le plan de travail, l’ouvre, et j’écarte lentement ses fesses. J’annonce clairement et solennellement ce qui va suivre :
    
    « - Bon, on va passer aux choses sérieuses maintenant, ma chère Jenna. Vous n’êtes plus une enfant et le châtiment qui va être le vôtre doit être à la hauteur des fautes que vous avez commises. Vous avez essayé de nous entuber, de nous mettre, aussi bien l’Administration que les usagers… »
    
    Aussitôt elle proteste, se met à pleurnicher :
    
    « - Mais ça n’était pas de ma faute, on m’a trompée… j’ai fait confiance, on a abusé de ma confiance…
    
    — Ça, j’ai du mal à le croire, chère Madame. Mais même si c’était le cas, comme vous dites, ça n’enlève rien à votre faute : vous êtes ...
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