1. La gendarmette


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds

    ... belle, avec des tresses. Un cul et des fesses pas possibles ! Pour le visage je ne suis pas sûr à cent pour cent. Je ne l’ai jamais vu en plein jour. Mais le peu que j’ai vu dans l’éclairage de la boîte de nuit c’est qu’elle est de visage au minimum passable… elle doit surement être canon, après on ne sait jamais ce que donne un visage rencontré la nuit en plein jour.
    
    Stéphane.-Je vois ce que tu veux dire. Si tu la vois, tu pourras la reconnaitre ?
    
    Batangui.-Peut-être. Je ne suis plus sûr. Mais je crois qu’elle pourrait me reconnaitre. Je sais qu’elle va souvent dans la même boîte que moi.
    
    Stéphane.-Le Safari ?
    
    Batangui.-Oui. Je la croise souvent au Safari. Je l'avais déjà croisée quelque part mais je ne sais pas où.
    
    Stéphane.-Peut-être qu'elle est de l'universalité !
    
    Batangui.-Peut-être.
    
    Deux jours plus tard, Batangui se trouvait au marché dit marché fraudeur ; c’était un marché encombré et bruyant où se vendaient toutes les contrefaçons du pays : on y trouvait des faux médicaments, des faux vêtements de luxe, des faux sacs, des faux bijoux, de l’alcool frelaté, du carburant trafiqué, c’était un marché où s’approvisionnaient les plus pauvres.
    
    Il faisait chaud. Batangui entra dans un kiosque où il avait ses habitudes. Le commerce était géré par un nordiste quadragénaire. Il portait une tunique d’un blanc immaculé qui surprenait Batangui à cause de l’état poussiéreux et parfois boueux de l’environnement.
    
    Le vendeur.- Bonjour chef ! Il te ...
    ... faut quelque chose ?
    
    Batangui.-Je recherche des boxers. Pas pour le ring mais pour mes noisettes et mon bangala.
    
    Le vendeur.-J’ai ce qu’il te faut ! Je sais que tu n’aimes pas la friperie. Je t’ai gardé ça parce que tu es un bon client !
    
    Batangui.-Merci !
    
    Le client regarda le sac qui contenait les boxers. Ils semblaient neufs, ils avaient toujours les étiquettes d’usine. Mais le client voulait être rassuré.
    
    Batangui.-Ils sont neufs ?
    
    Le vendeur.-Oui ils sont neufs, très neufs même !
    
    Batangui.-J'ai besoin d'une dizaine de boxers.
    
    Le vendeur.-Qu’elle taille ?
    
    Batangui.-XL. Tu me le les fais à combien ?
    
    Le vendeur.-5000 FCF.
    
    Batangui paya le vendeur puis sortit du kiosque. Il pensa, « ce fils de pute ! Non content d’appauvrir le pays avec sa friperie étrangère, il faut qu’il m’arnaque mes 5000 FCF ! Cette monnaie nazie et de singe ! » Tenant le sac plastique entre les mains, il se dirigea vers la chaussée où il héla un taxi. Outre leur couleur jaune les taxis d’ici ont la particularité de ramasser d’autres clients en cours de route ; si cela permet l’économie du carburant, cela oblige à la promiscuité et anéantit toute intimité.
    
    Une jeune femme se trouvait déjà assise sur la banquise arrière. Après les salutations et l’annonce de sa destination, il s’assit à côté d’elle. Il se rendait à la cité universitaire. Il ne savait pas où la jeune femme se rendait.
    
    Batangui.-Comment vous allez ?
    
    La passagère.-Bien, mais ça pourrait aller ...
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