La découverte - Histoires de Sexe

La découverte

... Véronique fit mine de vouloir se défaire de ses talons hauts en secouant ses jambes pour les faire tomber.

— Non ! m’exclamai-je, presque avec peur. T’es trop sexy avec, ne les enlève surtout pas !

Je me saisis alors de ses deux pieds et amenai les talons à me prendre en sandwich, les faisant glisser de haut en bas de mon sexe.

— Eh bien bravo, Monsieur est fétichiste en plus ! lança-t-elle d’un air quelque peu moqueur.

Décidant qu’il n’était pas temps à jouer avec ça – d’autres occasions se présenteront certainement – je plaçai ses jambes sur mes épaules en lui disant :

— Occupons-nous de cette moule entravée ! Plus que vingt minutes, je crois !

Je lui saisis alors jean et string pour les amener sur ses genoux. Puis, je l’accompagnai à se coucher complètement sur la table en poussant ses jambes en arrière, genoux repliés sur sa poitrine.

Quel spectacle ! Son joli fruit d’amour était là, face à moi, surmonté d’un pubis taillé à la brésilienne, rouge d’excitation. Ses grandes lèvres laissaient poindre en leur centre ses petites lèvres ruisselantes de cyprine et prêtes à éclore, le tout ponctué par un bel anus glabre. Cette rosette à l’aréole large et bien marquée me laissa tout de suite penser que d’autres avaient déjà dû forcer la porte et que la sodomie ne devait pas lui être inconnue. Au vu ce cette « nouvelle » Véro que je découvrais, cela ne m’étonna pas plus que ça, mais j’enlevai rapidement l’idée de l’enculer maintenant.« Une autre fois ! » me ...

... dis-je.

Ma langue s’affaira alors à lui libérer le clitoris de ses chairs et à faire éclore ses pétales, libérant ainsi l’entrée de son vagin. J’aurais bien pris quelques photos, tant le spectacle était exquis. Continuant à jouer de ma lécheuse sur son bourgeon turgescent, un, puis deux doigts s’infiltrèrent en elle pour s’affairer à son point G en le lui massant en cercle.

Il n’y eut pas d’éjaculation, mais l’orgasme de Véro fut violent, hurlant son plaisir tout en essayant de se dégager de mon emprise en tortillant son corps dans tous les sens. Mes doigts plantés dans sa fente, je ne bougeais plus. J’avais également cessé de lui agacer le clitoris de ma langue. Je la regardais, belle, s’apaiser peu à peu.

Mais, sans pour autant lui laisser reprendre totalement ses esprits, j’attirai ses fesses à moi pour l’enfourner derechef jusqu’à la garde, avant de me retirer complètement et de réitérer la manœuvre plusieurs fois d’affilé.

— Oh, ouiiii ! C’est bon, défonce-moi ! mugit-elle.

Maintenant, prêt à assouvir tous ses désirs, lui agrippant string et jean tendus entre ses genoux d’une main, tel un cavalier tenant les rênes de sa jeune pouliche, je lui martelais le con sans réserve.

Encouragé par les cris de son orgasme et comme hypnotisé par le balancement désordonné de ses hauts talons jaunes face à moi, je continuai à la besogner jusqu’à ce que je sente ma propre jouissance approcher.

Dans un ultime moment de lucidité avant ma délivrance, je me dégageai et, ...