La découverte
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
fh,
copains,
taille,
ascenseur,
chaussures,
facial,
Oral
occasion,
Auteur: Tirelarigot, Source: Revebebe
... contracter pour se coller encore plus au mien.
Le temps semblait s’être arrêté soudainement. Nous étions emprisonnés dans la cage de fer immobile et mes mains parcouraient le dos, la nuque et les fesses de Véro. L’Univers tournait autour de nous au rythme de nos langues qui se mélangeaient fougueusement.
Véronique se dégagea et, reprenant son souffle, déclara:
— Waouh ! T’embrasses comme un dieu, j’en ai eu une explosion de culotte !
J’en revenais pas. C’était pas mon amie que je connaissais. Jamais l’ « ancienne » Véro n’aurait osé pareil langage impudent. Visiblement le divorce l’avait décoincée et c’était tout à ma veine.
— Viens, c’est mieux d’approfondir ça chez moi ! poursuivit-elle en me lançant un clin d’œil et passant sa main furtivement sur la bosse que formait mon sexe sur mon jean.
Totalement subjugué par son audace, je la suivis chez elle, fermement décidé à changer le cours des choses en prenant le contrôle des opérations à venir.
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Une fois la porte d’entrée passée, un couloir de quelques mètres débouchait directement dans un salon spacieux largement éclairé par une paroi de porte-fenêtre menant au balcon.
Ne m’attardant pas plus à découvrir ce lieu joliment décoré, je la suivis jusqu’à la cuisine où elle commençait à déballer ses affaires. Déterminé à prendre les choses en main, je me collai sans attendre à elle par-derrière, lui embrassant la nuque et positionnant mes mains sur son ventre et une de ses ...
... hanches.
— Attends ! Laisse-moi d’abord ranger mes courses ! protesta-t-elle, sans pour autant faire mine de se dégager.
— Alors, on excite le monsieur dans la cage d’ascenseur, puis on le laisse poireauter ? m’indignai-je sous forme de boutade.
Mes mains s’étaient mises en mouvement, caressant ses cuisses en symétrie.
— Madame joue les allumeuses, puis se rebiffe !
Une de mes mains frôla son entrejambe avant de continuer sa course le long des courbes de son corps, jusqu’à ses seins, tandis que son cul se mettait maintenant en mouvement, se frottant en cercle sur mon chibre emprisonné.
— Ah, j’aime mieux ça ! Oui, frotte-moi ton joli petit cul sur ma bite ! dis-je en passant à présent une de mes mains entre ses jambes.
Son corps se tortillant et ses mains passées sur mes fesses, le massage simultané de ses seins et de son sexe la fit rapidement miauler.
— Je crois qu’il est temps de rendre la liberté au satyre, sous risque de faire éclater mon pantalon ! lui annonçai-je dans le creux de l’oreille.
Je n’eus pas d’autres mots à ajouter pour que Véro comprenne le message et s’accroupisse jambes écartées, face à moi.
— Mmmh, je sens que je vais me régaler !
Elle avait annoncé ça tout en saisissant d’abord mon sexe bandé pour le modeler à travers le tissu, avant de s’attaquer à défaire les verrous qui le maintenaient prisonnier.
Concentrée, elle le fit jaillir de son boxer, prenant bien soin d’en libérer également les bijoux de famille.
La surplombant, je ...