1. La découverte


    Datte: 06/02/2019, Catégories: fh, copains, taille, ascenseur, chaussures, facial, Oral occasion, Auteur: Tirelarigot, Source: Revebebe

    Mon regard venait d’être attiré par cette fille, perchée sur ses talons aiguilles, filant d’un pas décidé à travers la foule de ce samedi matin de marché. Le balancement de ses fesses moulées par un jean troué lui donnait une grâce divine qui, à en croire les regards se retournant à son passage, ne laissait pas beaucoup de mâles indifférents.
    
    Elle s’arrêta à un stand de fruits et légumes. Curieux à l’idée de pouvoir également la contempler de face, je décidai de joindre l’étal du maraîcher où elle était maintenant en train de malaxer des concombres. Bien qu’elle doive évidemment en tester la fraîcheur, je ne pus m’empêcher d’imaginer mon sexe les substituant.
    
    M’approchant, je constatai également à quel point sa nuque était magnifique, ainsi dégagée par des cheveux courts taillés et ses épaules que seules de fines bretelles couvraient.
    
    C’était Véro ! Je le découvris alors que j’étais à encore quelques mètres d’elle, sans avoir vu son visage. Sa voix ne trompait pas, même si je ne l’avais pas vue depuis presque une année, suite à son divorce avec un de mes meilleurs potes.
    
    — Bonjour mademoiselle ! décidai-je de l’aborder de dos, sans que nos regards se soient encore croisés.
    
    Se retournant à mes mots, je faillis défaillir, le regard directement happé par son décolleté. Jamais je n’avais vu Véro ainsi fagotée.
    
    — Hé Fabrice ! Ça fait plaisir de te voir ! lança-t-elle joviale en me découvrant.
    
    On se fit la bise. Jamais elle n’avait été aussi grande, ...
    ... constatai-je. Pour cause, ses talons hauts la relevaient de dix bons centimètres.
    
    — Ça fera six euros ! annonça une voix derrière elle.
    
    C’était le maraîcher, tendant le cabas de Véro. Tout en le récupérant et payant, elle me demanda :
    
    — T’as le temps ? On se boit un petit verre ? C’est l’heure de l’apéro, non ?
    — Oui, excellente idée ! On va où ?
    
    À la fois surpris et ravi par la proposition, j’avais quelque peu balbutié ma réponse.
    
    — Le plus cool, c’est que tu viennes chez moi, j’habite juste là ! m’invita-t-elle en me désignant du doigt le haut d’une maison adjacente au marché. Depuis le balcon, la vue sur la foule y est superbe et on pourra discuter tranquille. J’ai un petit Riesling d’Alsace au frais, en plus !
    — Cool ! Ça me paraît parfait, je te suis !
    
    Je la laissai ouvrir le pas et, comme hypnotisé par sa démarche chaloupée, je la suivis.
    
    J’en croyais pas mes yeux. Véro était comme métamorphosée. Celle que je connaissais depuis presque vingt ans, et avec qui j’avais passé tant de moments lorsqu’elle était toujours mariée à mon pote Marc, était devenue une véritable bombe.
    
    Certes, Véro m’avait toujours fait fantasmer, et ça depuis notre première rencontre. Son petit mètre quarante-neuf face à mon quatre-vingt-cinq m’excitait à fond. Je me suis à maintes reprises branlé en m’imaginant la baiser debout, tout en la portant afin qu’elle ne touche pas le sol.
    
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    Moi, le vieux célibataire – de maintenant plus de quarante ans – qui s’était ...
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