La découverte
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
fh,
copains,
taille,
ascenseur,
chaussures,
facial,
Oral
occasion,
Auteur: Tirelarigot, Source: Revebebe
... toujours mis un point d’honneur à ne pas toucher aux nanas de mes potes, ne comptais pas laisser cette occasion me filer sous la patte… la bite, plutôt !
Arrivée dans le hall de cette vieille bâtisse bordant la place du marché, Véronique appela le vieil ascenseur en fer forgé à cage ouverte.
— T’es resplendissante, Véro ! J’adore ton nouveau look ! dis-je d’un air admiratif.
— Merci Fabrice ! C’est suite à la séparation avec Marc que je me suis sentie obligée de changer. Une nouvelle vie commençait pour moi. En plus, Marc était un sale macho qui n’acceptait pas que je me mette en valeur en public. Pas de décolletés, pas de jupes courtes et encore moins de hauts talons. J’en profite maintenant !
Tout en parlant, Véro m’avait invité à entrer dans le minuscule ascenseur datant d’un autre siècle. Entrant en dernier, Véronique s’était collée à moi afin de pouvoir refermer le rideau de fer. Ses fesses ainsi plaquées contre mon entrejambe, je sentis poindre un début d’érection, que j’essayais de refréner aussitôt tant bien que mal. Mais la vue plongeante par-dessus son épaule que j’avais sur son décolleté et le canyon creusé entre ses seins, n’arrangeait rien. Je pus même apercevoir la marque de bronzage dessinée sur leurs galbes.
Les secousses engendrées par le vieil élévateur entamant son ascension eurent raison de l’équilibre de Véro sur ses talons aiguilles. Manquant de se fouler une cheville, elle se retourna afin de s’agripper à moi.
— Waouh ! Il est de plus en ...
... plus capricieux ! me dit-elle amusée tout en me fixant dans les yeux.
— J’ai l’impression d’être dans « Le Père Noël est une ordure ». C’est un truc à louper un réveillon, cet ascenseur ! répondis-je en rigolant.
— Et s’il tombe en panne, c’est même pas cool pour baiser. On est visible de partout ! s’esclaffa-t-elle amusée.
J’avais pas rêvé, l’air de rien, elle venait de parler de baise, tout en ayant ses deux mains fermement agrippées à mon torse et, je le remarquais à présent, une de mes mains était également posée dans le creux de ses hanches, la maintenant fermement collée à moi.
— Embrasse-moi, Fabrice ! me lança-t-elle les yeux plein d’envie.
Ne me laissant pas le temps de réagir, elle continua :
— J’ai toujours eu envie de toi et je suis certaine que c’est réciproque. En tous cas, celui que je sens sur mon ventre l’est ! dit-elle en se collant encore plus à moi.
En effet ma bandaison qui n’était encore que naissante au départ de l’ascension, n’avait fait qu’augmenter au fil de cette promiscuité.
L’ascenseur s’arrêta tant bien que mal. On était arrivés. Ni elle ni moi n’avions envie de couper court à cette étreinte. Me penchant vers elle pour l’embrasser, je luis dis :
— Tu as raison, j’en ai envie depuis la première fois qu’on s’est rencontrés. Plus rien ne nous l’empêche maintenant.
Mes lèvres se joignirent aux siennes. J’étais comme électrisé, le cœur battant la chamade et quand nos langues se trouvèrent, je sentis le petit corps de Véro se ...