L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (6)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... arrivé, et je la rejoignis dans la salle de bain, tout excité ; j’allais enfin peut-être pouvoir la baiser !
Alors qu’elle laissait la porte entrebâillée, ce que je ne remarquai pas sur le coup, trop excité par la situation, elle commença à me baisser pantalon et boxer et se saisit de mon sexe en érection. Elle commença à me caresser et à me masturber.
Puis elle me prit une de mes mains et la plaçant sur son sein, elle me demanda de la déshabiller.
Je déboutonnai le chemisier, lui enlevai le soutien-gorge pour faire apparaitre sa superbe poitrine, et commençai à lui caresser les seins.
Elle se plaça à genoux devant moi et prenant mon sexe dans sa bouche, elle commença à me faire une fellation.
J’étais aux anges, tous mes rêves les plus fous se réalisaient…
Alors que j’allais venir, elle retira ma verge de sa bouche et me finit à la main.
Mon éjaculation fut assez importante et je lui mis de sperme quasiment sur toute la poitrine, et sur sa jupe.
Un grand sourire aux lèvres, elle remit son soutien-gorge, et son chemisier sans le boutonner et sortit de la pièce, me disant que le spectacle n’était pas terminé.
Encore sous le coup de la jouissance divine que je venais de ressentir, je flottais sur mon petit nuage.
C’est alors que mon père rentra comme une furie dans la salle de bain, suivi de ma mère en pleurs, le chemisier toujours déboutonné et mon sperme sur sa peau et ses vêtements.
Mon père me décocha une terrible gifle qui m’envoya ...
... valdinguer contre la baignoire.
À moitié assommé et ne comprenant rien à la situation, il me dit :
« Petit salopard ! Tu n’as pas honte de ton comportement ! Tu espionnes ta mère alors qu’elle se change, tu la regardes à moitié nue, tout en te masturbant !
Tu n’es qu’un sale petit voyeur et un pervers incestueux…tu me donnes envie de vomir !
Regarde ta pauvre mère en pleurs, elle encore sous le choc.
La pauvre est toute bouleversée d’avoir reçu ta semence sur son corps !
Rebecca qu’allons-nous faire de lui ?
— Mickaël, je ne comprends pas ce qui lui a pris de m’espionner ainsi…
J’avais bien remarqué qu’il m’observait de façon différente depuis mon retour de vacances en Tunisie, mais là, qu’il exprime une telle perversion à mon encontre, cela me bouleverse.
Jonathan, mais qu’est-ce qui t’a pris, je suis ta mère !
Tu n’as pas honte ? Réponds !
— Mais maman, je …je … c’est toi qui !
— Mon Dieu que vas-tu encore inventer pour ta défense ?
— Je ne veux plus en entendre davantage. Tu files dans ta chambre et tu n’en sors plus jusqu’à nouvel ordre…ta mère et moi avons à discuter de ton cas ! »
Penaud, désemparé, et triste face à la perversité incroyable de ma mère, je me réfugiais dans ma chambre ne sachant pas « à quelle sauce, j’allais être mangé »
Je me croyais au sixième sous-sol …la suite fut encore pire !
Mon père m’expliqua, qu’ayant développé ce qu’il croyait être une pathologie morbide, incestueuse à l’encontre de ma mère, je devais me ...