1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (6)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... cyprine dans la figure.
    
    Devant mon air ahuri, restant bête alors que les gouttelettes me coulaient sur le visage et la bouche, elle éclata de rire :
    
    « Alors mon chéri, tu ne savais pas que ta petite maman était une femme fontaine ? Ai-je bon gout ? Elle te plait ma petite chatte ?
    
    Tu vois que je ne suis pas si méchante que cela, je t’avais dit que tu ne la verrais plus…en bonne mère je te permets encore de t’en régaler les yeux.
    
    Attends, ne bouge pas. Et peut-être qu’un jour si je suis de bonne humeur je te permettrai de profiter de mes charmes ! »
    
    Elle s’avança vers moi, se mit sur les genoux et approcha son visage vers le mien, alors au-delà de toute décence, elle se mit à lécher les gouttes de sa cyprine sur mon visage, j’avais les yeux à seulement 10 centimètres de ses seins magnifiques, je rêvais d’en sucer la pointe…
    
    Lorsque je réussis à lécher un mamelon, elle se recula brusquement et me décocha une gifle magistrale !
    
    « Dans ta chambre, petit obsédé, tout ce que je t’autorise à faire, c’est de te branler dans ton lit…il n’en sera peut-être pas toujours ainsi ! » dit- elle en me décochant une œillade assassine.
    
    Plus tard alors qu’effectivement je m’étais masturbé en pensant au spectacle torride dont j’avais été le témoin, je repensai à cette dernière phrase…comment pourrait-elle bien m’empêcher de me branler si j’en avais envie ?
    
    Elle commençait vraiment à m‘énerver.
    
    Le reste du mois d’aout se passa ainsi, entre exhibitions de ma mère, ...
    ... toujours à l’improviste et frustrations de ma part.
    
    Jusqu’à ce fameux incident, juste 3 jours avant la rentrée des classes.
    
    Alors qu’elle vaquait à ses occupations dans le salon, et que mon père dans son bureau, s’adonnait à sa passion des mots croisés, je profitai de ce moment pour aller chercher le fameux « carnet sentimental » de ma mère, et m’enfermai dans ma chambre.
    
    Sur mon lit pantalon et boxer baissé, je relisais ses fameuses aventures érotiques, en me faisant du bien.
    
    Quand soudain, alors que je n’avais pas fermé la porte à clé, ma mère pénétra dans ma chambre et me trouva sur mon lit, une main sur son carnet et l’autre sur ma verge.
    
    Sur le coup de la surprise, ni l’un ni l’autre ne prononçâmes le moindre mot.
    
    Ma mère était entre fureur, consternation et surprise.
    
    J’avais découvert tous ses secrets.
    
    Je m’attendais à prendre l’engueulade du siècle, quand elle se rasséréna, me décocha un sourire enjôleur et vint s’assoir près de moi, toujours le sexe à l’air :
    
    « Alors mon chéri, mes aventures érotiques te plaisent ?
    
    Tu sais que ça m’excite énormément de penser que tu puisses lire mes réflexions cochonnes les plus intimes, et que tu te masturbes en pensant à moi …
    
    Écoute, je te propose quelque chose. Tu ne dis rien à ton père, je récupère le carnet et en échange, tu me rejoins dans la salle de bain, d’ici dix minutes, et je te ferai une belle surprise… »
    
    Elle me quitta avec son précieux carnet, non sans avoir regardé à quelle page j’étais ...