L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (6)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
Je remis le journal à sa place, c’était beaucoup plus prudent…
Bon alors j’avais bien loupé le coche, je n’avais rien compris au comportement bizarre de ma mère à mon égard…
Je me serais foutu des baffes !
Ma mère était devenue un putain de canon, enfin plutôt Rebecca était devenue une petite bombe sexuelle avec la chatte en feu.
Au début j’aurais pu en faire mon esclave sexuelle, mais à cause de ma connerie, de mes rejets successifs, elle m’en voulait à mort.
Et je sentais bien qu’elle allait me faire payer très cher son ressentiment à mon égard !
Durant ces 3 semaines depuis son retour, elle s’était tenue très sage, du moins à la maison.
Forcement mon père, en vacances scolaires était toujours là, à faire ses saloperies de mots croisés…
Ce pauvre débile ne s’était même pas aperçu de la fulgurante métamorphose de son épouse en objet de désir : la chenille était sortie de sa chrysalide et était devenue un magnifique papillon !
On dit merci qui ? Merci les « beaux gosses » !
Quant à ses derniers, ils étaient en train de se prélasser sur une plage de Tel Aviv, comme tous les ans…ils allaient revenir début septembre.
Je me décidai à surveiller les notes de ma mère dans son journal pour savoir quand elle irait s’offrir à eux.
Je devais bien être capable de la suivre discrètement et de mater toute la scène…j’en bandais d’avance !
En attendant, ma mère rongeait son frein…jusqu’à la rentrée scolaire, elle fut immonde avec moi.
Elle me ...
... gratifiait tout le temps de regards de mépris, et n’hésitait pas à s’exhiber pour me rendre dingue !
Un soir que mon père était parti se coucher plus tôt que d’habitude, elle n’hésita pas à se passer un film porno en VOD sur l’écran plasma du salon ; alors qu’elle m’avait appelé, j’arrivai dans le salon et la vis alanguie sur le canapé, à regarder son film.
Quand je vis de quoi il s’agissait, je préférai retourner dans ma chambre, quand ma mère me dit sèchement de rester, et de venir m’installer à côté d’elle.
Au début tout se passa bien, elle était habillée avec une robe de chambre en soie de couleur pastel, et restait allongée les jambes légèrement pliées dans ma direction.
Mais lorsque dans l’action du film, l’héroïne se fit partouzée par les clients maghrébins d’un café, elle écarta les jambes, défit le lien de sa robe de chambre, dont les pans s’écartèrent révélant son corps nu.
J’allais partir, ne pouvant supporter ce spectacle trop érotique pour moi, quand elle me dit :
« Non, tu restes et tu regardes…
Mais non pas le film, imbécile, moi en train de me branler ! »
Le ton sans aucune commisération pour ma pauvre libido, qui allait être mise à rude épreuve, ne souffrait aucune objection, j’obtempérai, regardant ma génitrice, s’astiquer généreusement le clitoris.
Parvenue quasiment à son plaisir, elle se mit deux doigts dans sa fente et les secouant vigoureusement dans un clapotis de cyprine, elle jouit avec force gémissements, m’envoyant un jet de ...