En ce matin de juin...
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
école,
69,
pénétratio,
init,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... plaisir chez Francine. Il s’est retourné. Elle a vu arriver devant son visage ce morceau qu’elle a souvent manipulé, mais qu’elle ne connaît pas. Comme à l’ordinaire, ses mains s’en sont emparées mais aujourd’hui ce cône rose qui apparaît semble la provoquer. S’armant de courage, elle avance les lèvres et le goûte. Enhardie, elle l’a peu à peu absorbé, a agité la tête comme elle le faisait avec ses mains. Elle sent par ailleurs monter un plaisir ineffable.
Brusquement, Vincent lui a retiré cette sucette, est venu contre elle. Elle a compris qu’il avait voulu la protéger.
— Vincent, prends-moi aujourd’hui, baise-moi.
— Tu es folle, je te ferais mal et je risque de te mettre enceinte en plus !
— Je ne risque rien, ma cousine m’a donné des pilules. Quant au mal que je risque d’avoir, il faudra bien qu’un jour je le subisse. Alors je veux que ce soit avec toi, mon amour.
Vincent désirait cela depuis longtemps, mais il avait peur. Aujourd’hui, Francine le lui demande, il va franchir le pas.
Il est venu au-dessus d’elle, plaçant sa flèche au centre de la cible. De la main elle a bien déterminé l’endroit. Il s’est abaissé, jusqu’à ce qu’il sente une résistance, a hésité, mais c’est elle qui appuyant sur ses fesses l’a incité à descendre. Et ils se sont retrouvés, pubis contre pubis. Immobile, il a regardé son amour. Deux larmes perlaient sur les joues, mais elle souriait.
— Vas-y maintenant, baise-moi, lentement s’il te plaît.
Alors il se met en mouvement. ...
... C’est une sensation formidable, un plaisir physique extraordinaire, et surtout la fierté d’être enfin un homme. Mais ces sensations sont trop fortes, il éclate rapidement en elle.
Francine sent son amant s’épancher. Elle est contente pour lui. Et c’est une délivrance pour elle, que ce frottement blessait.
Allongés sur ce lit, ils se regardent, heureux d’avoir franchi le pas ensemble.
Ils sont allés dans la salle de bains, la maman chantonnait dans la cuisine. Ils se sont alors mis au travail. Quand sa mère leur a apporté un morceau de gâteau, elle a trouvé deux jeunes en train de discuter math.
Le samedi après-midi suivant, Vincent se rend chez Francine. Dès son coup de sonnette la porte s’ouvre. Francine était à l’affût. Elle l’amène dans la salle de séjour où son père, installé dans un fauteuil, semble lire le journal. Vincent le salue poliment, ce qui plaît à l’homme.
— Allez travailler, laissez la porte entrouverte.
Toute l’après-midi ils révisent. Plusieurs fois ils sentent une présence derrière l’entrebâillement de la porte, mais ils ne bronchent pas. Quand Vincent repart, les parents paraissent enchantés de leur visiteur.
— Alors ça y est, tu t’es décidée à laisser rentrer un garçon chez toi, demande un compagnon de travail au père de Francine.
— Oui, il vient travailler avec ma fille, c’est un garçon drôlement bien.
— Oui, mon fils le connaît, Vincent, c’est un gentil petit. Mais ce qui m’étonne, toi qui disais que tu ne voudrais jamais qu’un Arabe ...