1. En ce matin de juin...


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fh, jeunes, école, 69, pénétratio, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... vêtement, j’étais nue, à sa disposition, et cela me plaisait.
    
    Levant la tête, j’ai aperçu Jacques dans l’embrasure de la porte, qui nous regardait. J’étais perdue. Était-il l’instigateur, le complice ou ignorait-il tout des intentions de son amie ?
    
    Celle-ci maintenant m’embrassait comme seule une femme sait le faire. Sans se retourner elle dit :
    
    — Jacques, il y a là un morceau de roi. Elle est magnifique, profitons-en pour lui faire connaître des plaisirs nouveaux.
    
    J’ai fermé les yeux, submergée par le plaisir. Quand ses lèvres m’ont abandonnée, j’ai regardé. Jacques était là, devant moi, tout nu, son désir dressé. Je voulais qu’il me prenne, de suite, je ruisselais. Mais une tête apparut entre mes jambes et s’empara du sceptre. Elle l’engloutit en entier, j’étais jalouse d’elle. Quelques instants après, elle s’est redressée, s’est allongée tête-bêche avec moi. Elle m’a attirée sur elle, me présentant son sexe, prenant le mien. Je n’avais jamais connu les plaisirs lesbiens, mais je les appréciais en ce moment. Nous nous sommes caressées un moment, je ruisselais de plus belle. Et puis un sexe s’est introduit dans mon vagin. Jacques est très bien monté, mais il s’est enfoncé tout en douceur tant j’étais mouillée.
    
    Combien de fois j’ai pris mon plaisir, je ne le sais pas. C’était une succession de bonheurs, et Jacques continuait inlassablement. Puis il s’est retiré sans avoir joui. Mon sexe a été abandonné par la bouche féminine. J’ai entendu un bruit de ...
    ... succion. Je me suis redressée.
    
    Aline avait sa tête entre mes jambes, le sexe était enfoncé jusqu’à la racine. Il tenait sa tête à deux mains et j’ai compris qu’il se vidait en elle.
    
    Nous nous sommes retrouvés tous les trois sur le lit, j’étais entre eux deux, leurs mains me caressaient doucement. Je venais de vivre un rêve, de ressentir des plaisirs extraordinaires.
    
    Ils se sont redressés, m’ont aidée à me lever.
    
    — Viens, me dit Jacques, nous allons te laver.
    
    Tous trois nous sommes descendus, j’étais toujours nue. Elle m’a amenée dans une salle de bains avec une vaste baignoire. De l’eau tiède coulait. Elle m’a allongée au fond. Le niveau montait lentement, j’étais au paradis. Aline est venue à côté de moi et avec une éponge très douce m’a savonnée tout le corps. Elle m’a aidée à me lever pour atteindre le dos et les fesses. Je croyais rêver. Jacques m’a aidée à sortir de la baignoire, m’a séchée avec une grande serviette douce. Puis, me prenant dans ses bras, il m’a remontée chez moi, dans mon lit, m’a bordée et embrassée sur le front. J’ai sombré dans un sommeil délicieux.
    
    Quand je me suis réveillée le lendemain matin, j’ai pensé avoir rêvé. Mais ma robe sur le lit, mes sous-vêtements sur la chaise me montraient que j’avais vraiment vécu ce moment merveilleux.
    
    Vers midi, on a frappé à ma porte. J’étais encore en robe de chambre. Je suis allé ouvrir, c’était Jacques.
    
    — Tu as bien dormi ?
    
    Je n’ai pas pu répondre, mais mon regard devait être éloquent.
    
    — ...
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