En ce matin de juin...
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
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69,
pénétratio,
init,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... Mais par ailleurs j’étais soulagée, plus de danger.
Un jour, je suis arrivée devant l’immeuble en même temps que le couple. Nous avons discuté un instant. J’ai ainsi appris qu’elle s’appelait Aline. Elle m’a dit qu’elle aimerait bien voir mon appartement, si cela ne me dérangeait pas trop. J’ai naturellement accepté et les ai invités pour l’après-midi même, Daniel étant absent pour quelques jours.
Quand on a frappé à ma porte, j’étais prête, vêtue d’une petite robe que je venais de me payer. Bien qu’elle ne soit pas provocante, elle me mettait quand même en valeur. Je voulais être au moins aussi bien que cette femme.
Elle était seule, Jacques avait reçu un coup de fil au moment où ils montaient. Elle ne l’avait pas attendu. Je lui ai fait visiter mon logis, lui précisant comme je me trouvais bien ici.
— C’est un véritable nid d’amoureux, et vous devez être bien avec votre ami.
Je me doutais qu’elle savait que Daniel était mon amant, aussi ai-je pris la remarque avec un sourire.
— Oui, c’est très bien, il suffit d’avoir un partenaire d’un niveau convenable.
— Il est vrai que parfois le manque d’expérience, la trop grande hâte, ne permettent pas d’apprécier vraiment le moment. Par contre un partenaire plus expérimenté, même s’il est plus âgé, donne des plaisirs extraordinaires, n’est-ce pas ?
Entendant ces paroles, je me suis immédiatement demandé si elle était au courant de mon aventure avec Jacques. Si c’était le cas, je risquais d’avoir une ennemie ...
... dans la maison. À moins que… qu’elle soit adepte de plaisirs plus compliqués. Je restais sans voix.
— Mais ce n’est pas quelque chose de répréhensible d’apprécier plusieurs plats. Les plus verts sont parfois un peu acides, mais ceux qui ont vieilli dans un bon environnement sont succulents. Il faut un peu des deux. Pour ma part, j’apprécie ce mélange.
Là, plus aucun doute, Jacques avait parlé. Elle était au courant et s’amusait de moi.
— Tu es très belle, tu sais. Je te tutoie car tu pourrais être ma fille, et je te demande de me tutoyer, nous aurons l’occasion de nous voir souvent dans cette maison. Sous ta robe très bien choisie tu as mis un soutien-gorge alors que je pense que c’est totalement inutile. L’absence de carcan donne une liberté à tes seins et quand tu bouges leur balancement est suggestif et agréable à l’œil masculin. Tu vas voir, on va l’enlever.
Elle a ouvert ma robe et m’a retiré le sous-vêtement. J’étais paralysée, ces mains féminines qui me palpaient déclenchaient un plaisir trouble.
— Mais c’est un péché de mettre ce carcan, tu as une poitrine magnifique !
En parlant, elle me touchait les seins, la caresse de ses doigts me donnait des envies d’amour. Pour mieux m’admirer, elle a rabattu tout le haut de ma robe, sortant mes bras des manches. Elle a desserré la ceinture et ma robe est tombée. J’étais en culotte devant elle. Elle me regardait avec envie. Doucement, elle m’a poussée sur le lit. Sans rien dire, elle a fait glisser mon dernier ...